Quelques images de pièces sont reproduites aux figures 21 à 25 du présent ouvrage, p. 199-204.
Tissot Laurent, « Entreprises, cheminements technologiques et innovation »…, p. 113-130, p. 116.
Jaucourt Louis Chevalier de, « Invention », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 8, p. 848.
MacLeod Christine, Heroes of Invention…, p. 389-390.
Jaucourt Louis Chevalier de, « Invention »…, p. 848.
« Heroization of inventors was not uncommun in mid-eighteenth-century France and the article on “invention” in the Encyclopédie (written by Louis de Jaucourt) would actually call forth this vision of invention. » Hilaire-Pérez Liliane, « Diderot’s views on artists’… », p. 129-150, p. 132.
« […] his [Diderot‘s] conception of invention led him to deny any private intellectual property to inventors precisely at a time when inventors were fighting for social recognition and private rights. […] Although Diderot celebrated technical inventivity, for instance in the article “Art” of the Encyclopédie, there was a gap between what he claimed for authors and for artists, let us say for liberal arts, and what he denied to inventors, for the mechanical arts. » Hilaire-Pérez Liliane, « Diderot’s views on artists’… », p. 129-150, p. 129.
Cipolla Carlo M., Storia economica dell’Europa pre-industriale…, p. 215-216 (première édition en 1974).
Liengme-Bessire Marie-Jeanne, « La perception de l’histoire de l’horlogerie neuchâteloise… », p. 37-44, p. 39.
AEN : Justice, La Chaux-de-Fonds, Justice civile, 27 juillet 1773-13 septembre 1775, J. J. Brandt père. vol. no. 150, p. 302-307.
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/262, 13th January 1778, p. 476.
Hilaire-Pérez Liliane, La pièce et le geste…, p. 103-104.
Le cartel, explique Chapuis, est une « […] pendule s’accrochant à la muraille, d’une seule pièce en général, et dont l’extrémité intérieure, dessinée en pointe, rappelait vaguement le cartel primitif, autrement dit l’écu. À l’origine, le cartel fut le plus souvent placé dans l’alcôve, au-dessous du lit. Il est dû, dit-on, à l’invention du “tirage” placé à portée de la main pour faire fonctionner la sonnerie. » Chapuis Alfred, « Pendules de la Collection Wallace », in Journal suisse d’horlogerie, no. 5-6, 1950, p. 176.
Mouret Dominique, Maradan Ariane, « Essai de classification des pendules neuchâteloises », in Huguenin Régis (dir.), Piguet Jean-Michel (avec la collaboration de), Baldi Rossella (avec l’appui scientifique de), La neuchâteloise…, p. 47-134, not. 67-85, 94-97 ; Bodenmann Laurence, Archétype de la pendule neuchâteloise, url : http://www.imagesdupatrimoine.ch/notice/article/archetype-de-la-pendule-neuchateloise.html (consulté le 19 septembre 2014).
Huguenin Régis (dir.), Piguet Jean-Michel (avec la collaboration de), Baldi Rossella (avec l’appui scientifique de), La neuchâteloise…, p. 82-83.
Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain…, p. 49.
Le pont est une pièce de métal où tourne un des axes de la roue.
La platine est une plaque de métal où sont disposés les ponts et les organes du mouvement.
Le mouvement est l’ensemble des principaux organes d’une montre. Il est généralement en laiton et en acier.
D’autres améliorations techniques seront encore apportées par Abraham-Louis Breguet, né à Neuchâtel, et dont la carrière s’est déroulée essentiellement à Paris.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 6.
Un échappement est un mécanisme qui a pour fonction d’entretenir et de régler les oscillations de l’organe régulateur : le balancier ou le pendule. Les oscillations du balancier régulent le mouvement du rouage d’une montre. Les définitions de l’échappement, du mouvement, de la platine et du pont, explicitées dans les notes précédentes, sont tirées de : Munoz Heloisa, « Un inventaire de la production des Jaquet-Droz et Leschot »…, p. 38-44.
Landes David Saul, L’orologio nella storia. Gli strumenti di misurazione del tempo e la nascita del mondo moderno, Milano : Mondadori, 2009, p. 137.
Witz Emanuel (27 juin 1717 (Taufe) Biel, 11 décembre 1797 Biel). Peintre portraitiste ayant étudié à Paris et séjourné en Espagne. url : http://www.sikart.ch/KuenstlerInnen.aspx?id=4030165 (version du 14 septembre 2011). La redingote portée par Pierre a probablement été achetée à Lyon, en route pour Madrid. BVCF : D.1853, Journal du voyage d’Espagne de Jaquet Droz 1758-1759 : « Jaquet-Droz a acheté un habit, draps de silésie, veste ecarlate galonnée po[ur] 19 ecus pour une redingote ecarlate » [p. 21, 18 avril 1758].
Grosclaude Louis-Aimé (26 septembre 1784 Le Locle, 11 décembre 1869 Paris). Peintre de genre et portraitiste actif à Paris, Genève et Neuchâtel. url : http://www.sikart.ch/KuenstlerInnen.aspx?id=4022908 (version du 21 décembre 2011).
Bernasconi Gianenrico, Objets portatifs au Siècle des Lumières…, p. 234-237.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 66-67, lettre de J.-F. Leschot aux frères Jordan, 31 octobre 1794. Cette lettre est entièrement reproduite à l’annexe 5 du présent ouvrage, p. 559.
Par exemple : A descriptive catalogue of the several Superb and Magnificent Pieces of Mechanism and Jewellery, exhibited in Mr. Cox Museum, at Spring Gardens, Charing-Cross, London, 1772.
Pointon Marcia, « Chinese Whispers… », p. 203-221, p. 217.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 66-67, lettre de J.-F. Leschot aux frères Jordan, 31 octobre 1794. La seconde morte, mentionnée dans cet extrait, est une complication mécanique qui permet de mesurer des temps courts en arrêtant l’aiguille des secondes, sans entraver la marche du reste du mécanisme. Les montres à masse perpétuelle sont des montres automatiques.
Sur l’ajustement entre la demande et le choix des produits suivant des différences importantes de qualité, de prix et de décors : Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 74-78.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 111-113, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 3 février 1795.
Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 71.
Harris John Raymond, Industrial Espionage and Technology Transfer…, p. 173-204, 173.
Divers envois de bijoux de Jean-Frédéric Leschot à John Jacques Himely sont documentés, par exemple : BGE : Ms. Suppl. 958, p. 122, note 73-65, 20 août 1796.
Envois de la société Jaquet-Droz & Leschot à James Cox & son. AVN : Fa Jaquet-Droz, p. 39, 9-11 novembre 1785.
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1790-1791], not. p. 10.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 12-14, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 23 mai 1794.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 9-10, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 23 mai 1794.
Bodenmann Laurence, « Évolution des volumes et des formes en lien avec la production des Jaquet-Droz et Leschot. », in Bodenmann Laurence, Mootoosamy Morgham (dir.), Automates & merveilles…, p. 20.
Bien qu’il n’en reste que peu de traces écrites ou iconographiques, on sait que ces objets curieux étaient déjà appréciés dans l’Antiquité, puis à la Renaissance : des arbustes ou des fontaines agrémentés d’oisillons mécaniques. Pugliara Monica, Il mirabile e l’artificio : creature animate e semoventi nel mito e nella tecnica degli antichi, Roma : « L’Erma » di Bretschneider, 2003.
Un mouvement de pendule à carillon datant d’environ 1750 et signé « Pierre Jaquet-Droz à La Chaux-de-Fonds » indique une production de pendules à musique déjà établie au milieu du xviiie siècle à La Chaux-de-Fonds. (MIH : IV-423). Piguet Jean-Michel, « Petite histoire de la musique mécanique », in Bosshart Nicole (dir.), Automates & merveilles. Merveilles mouvements… surprenantes mécaniques, catalogue d’exposition, 29 avril-30 septembre 2012, La Chaux-de-Fonds, Musée international d’horlogerie, Neuchâtel : Éditions Alphil, 2012, p. 29.
BPUN : Ms 1604, [Perret Phinnée], Notice historique sur l’industrie…, p. 15.
Musée international d’horlogerie (désormais MIH) : Fonds Robert, ROB.002.001. Inventaire général du commerce de J. Robert et fils. 1er juin 1781.
Haspels Jan Jacob Leonard, Automatical musical instruments. Their mechanics and their music. 1580-1820, [S.l.] : [s.n.] : 1987.
Kerman Sharon, « Les Jaquet-Droz et Leschot : aux croisées des chemins »…, p. 57-58.
Bailly Christian et Sharon, Oiseaux de bonheur, Genève : Antiquorum Éditions, 2001.
Bonhôte Daniel, Baud Frédy, Au temps des boîtes à musique : des origines aux orgues de fête foraine, Lausanne : Éditions Mondo, 1972.
Jacob Frisard est un horloger mécanicien, né à Villeret en 1753, actif à Genève et à Bienne notamment. Collaborateur au sein de l’atelier Jaquet-Droz & Leschot, il est considéré comme l’inventeur du sifflet à piston coulissant qui a permis de miniaturiser et d’affiner le chant des oiseaux.
Kerman Sharon, « Les Jaquet-Droz et Leschot : aux croisées des chemins »…, p. 58.
En parlant d’Abram-Louis Huguenin et de son passage à Berlin en tant qu’inspecteur général de la fabrique d’horlogerie, Chapuis évoque son affinité avec la musique. C’est aussi l’occasion de glisser une référence à Henry-Louis Jaquet-Droz : « Le jeune Abram-Louis avait sans doute fait son apprentissage dans l’atelier familial, puis paraît avoir travaillé en Angleterre et en France où il étudia en particulier la composition musicale chez Maschall, à Nancy, qui fut aussi le maître d’Henry-Louis Jaquet-Droz. C’était par goût personnel et dans le but d’établir des pendules à grande musique mécanique : à carillons, à jeux de flûtes, à clavecin, à tympanon. » Chapuis Alfred, « Abram-Louis Huguenin et ses inventions », in La Suisse horlogère, 1949, no. 1, p. 29-34, p. 30. Comme c’est souvent le cas dans les publications de Chapuis, les sources utilisées sont rarement mentionnées.
Lang Paul Henry, « The Enlightenment and Music », in Eighteenth-Century Studies, vol. 1, no. 1, 1967, p. 93-108 ; Julia Dominique, « L’éducation des négociants français au 18e siècle », in Angiolini Franco, Roche Daniel (dir.), Cultures et formations négociantes dans l’Europe moderne…, p. 215-246.
Fallet Édouard-Marius, Vie Musicale, Collection publiée à l’occasion du centenaire de la République, 1948, p. 47-48 ; Fallet Édouard-Marius, La vie musicale au pays de Neuchâtel du XIIIe siècle à la fin du XVIIIe siècle, Leipzig ; Strasbourg [etc.] : Heitz, 1936 ; Becker Georges, La musique en Suisse : depuis les temps les plus reculés jusqu’à la fin du dix-huitième siècle : notices historiques, biographiques et bibliographiques, Genève & Paris : Henn & Fischbacher, 1923. Le carnet thématique dédié à l’histoire de la musique dans le Pays de Neuchâtel mentionne laconiquement : « L’exemple [de l’Académie de Neuchâtel] fut suivi à La Chaux-de-Fonds, qui posséda de 1772 à 1774 un orchestre un peu semblable sur lequel nous sommes mal renseignés. » Boss Roger, « Promenade musicale dans le Pays de Neuchâtel », in Nouvelle revue neuchâteloise, no. 17, 1988, p. 16.
Original actuellement non localisé.
Si un voyage préliminaire à Londres est envisageable pour 1773, son arrivée avec les automates n’intervient qu’à la fin de l’année 1775.
Fallet Édouard-Marius, Vie Musicale…, p. 47-48.
AVN : Fa Jaquet-Droz : Inventaire Particulier de Henry Louis Jaquet Droz du 20e May 1786, p. 17-23.
AEG : Jur. Civ. F 825, Inventaire après décès de Henry-Louis Jaquet-Droz, document non numéroté.
Bandelier André, Gigandet Cyrille, Moeschler Pierre-Yves, Spichiger Violaine (éd.), Théophile Rémy Frêne, Journal de ma vie…, p. 185, 209-210 ; Fallet Édouard-Marius, Vie Musicale…, p. 47-48.
Cop Raoul, Histoire de La Chaux-de-Fonds…, p. 130-131.
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/298, p. 73. Cockerell H.A.L., Green E., The British Insurance Business, 1547-1970, 2nd edition, Sheffield : Sheffield Academic Press, 1994. url : http://www.history.ac.uk/gh/fire.htm (consulté le 3 octobre 2016).
Dans le cadre d’une assurance contre le feu, mentionner que le bâtiment est construit en brique est un élément important, surtout après le grand incendie de 1666 qui avait détruit plus de treize mille maisons, plusieurs dizaines d’églises et encore bien d’autres bâtiments, alors principalement érigés en bois. Après cet événement, la fabrication des maisons en brique se généralisa. Porter, Stephen, The Great Fire of London, Stroud : Sutton publ., 2001. Ces polices d’assurance, dont la copie est transcrite dans des registres, contiennent les informations telles que le numéro de la police, le nom, la profession et l’adresse du preneur d’assurance ou de la personne mettant le bien en location, le type de construction, les valeurs à assurer, la prime et la date d’échéance. url : http://www.bsoc.co.uk/records/fire-insurance.html (consulté le 3 octobre 2016).
[Jaquet Droz et Leschot], Description de divers automates…, p. 7.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Notice historique sur M. Henry Louis Jaquet-Droz…, p. 7.
Journal de Genève, 6 juin 1789, p. 93. Sur le Journal de Genève : url : http://dictionnaire-journaux.gazettes18e.fr/journal/0645-journal-de-geneve (consulté 26 août 2017). Organe de diffusion de la Société des Arts de Genève, le journal paraît entre 1787 et 1794, il présente des données athmosphériques et météorologiques, les prix des denrées de base et les taux de change sur la première page ; suivent des indications liées aux bâptêmes, aux testaments, aux départs de Genève et aux barques prévues, des lettres de lecteurs et des contributions de membres de la Société. La transcription de la machine musicale est reproduite à l’annexe 3 du présent ouvrage, p. 551.
Perrot François-Louis, « Sur une œuvre des Jaquet-Droz et Leschot tombée dans l’oubli », in Musée Neuchâtelois, 1943, p. 62-64.
Journal de Genève, 6 juin 1789, p. 93.
« Les frères Gendres de Madrid doivent à Jaquet-Droz : Novembre 1784 A eux expedié suivant leur ordre un grand jeu de concert a Bureau a orgues Clavecin & timbales payable en décembre 1785 de 250 louis, livres de france 6000 ». AVN : Fa Jaquet-Droz : Livre de comptes de 1784 à 1787, p. 12.
Journal de Genève, 6 juin 1789, p. 93.
Curieusement, les dimensions sont très proches de celles de la Grotte. Le premier prospectus des automates parle de « 4 pieds et demi en quarré, sur deux à trois pieds d’élévation. » BVCF : Publications des Montagnes neuchâteloises, CFV Na 213, papier imprimé, 1774, « Description de divers ouvrages de méchanique, inventés par le Sieur H. L. Jacquet Droz, Artiste de La Chaud-de-Fond, dans le Comté de Neuchâtel en Suisse. », permis d’imprimer, le 8 décembre 1774.
Journal de Genève, 6 juin 1789, p. 93. Le comité de mécanique de la Société des Arts mentionne cette machine quelques jours après la parution de sa description dans le Journal de Genève : « Clavecin organique. Il a été résolu de faire une mention honorable du Clevercin organique de Mr Jaquet-Droz dont l’invention et l’execution respondent si bien au genie [« à l’habileté » rayé dans le texte] de son auteur, et à l’habilité de son Execteur ». ASAG : Comité de mécanique. 1787-1821, 26 juin 1789, p. 34.
BBB : FA de Diesbach-Torny 14.3, Journal de François Pierre Frédéric (Victor Gaspard Melchior Balthazard) de Diesbach (1760-1811), p. 133-134.
Directeur des coches et des messageries royales en France vers Genève. Membre du Conseil des Deux-Cents depuis 1770. Quelques données bibliographiques : url : http://w3public.ville-ge.ch/bge/odyssee.nsf/Attachments/bourdillon_leonardframeset.htm/$file/bourdillon_leonardframeset.htm ?OpenElement (consulté le 18 août 2017).
BGE : Ms. suppl. 1109, 1783-1785, p. 206-207. Relevons qu’un enregistrement comptable plus tardif mentionne, en 1786, le paiement d’une « timbale & clavecin du jeu de concert. » En 1789 un certain Bröer est mentionné pour le paiement d’un clavecin pour le concert. AVN : Fa Jaquet-Droz, Livre de caisse 1784-1789, p. 17, 26.
BGE : Ms. suppl. 962, p. 93, lettre de J.-F. Leschot à Nicolas Denis de Mirecourt, 23 décembre 1794.
Sur la musique au xviiie siècle comme science et art : Lang Paul Henry, « The Enlightenment and Music »…, p. 93-108, p. 93-94.
BGE : Ms. suppl. 962, p. 209-212, lettre de J.-F. Leschot à Nicolas Denis de Mirecourt, 25 janvier 1796.
BGE : Ms. suppl. 962, p. 165-166, lettre de J.-F. Leschot à Joseph Samson, 9 septembre 1795.
« Manufacturers frequently blamed their delays in dispatching orders on shortages of key workers. […] Key workers were constantly poached from other firms. » Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain…, p. 172. Ceux-ci étant le plus souvent « indépendants », ou self-employed, cette pratique paraît évidente.
BGE : Ms. suppl. 962, p. 165-166, lettre de J.-F. Leschot à Joseph Samson, 9 septembre 1795.
BGE : Ms. suppl. 962, p. 165-166, lettre de J.-F. Leschot à Joseph Samson, 9 septembre 1795.
On consultera avec précaution le répertoire des horlogers genevois compilé par Osvaldo Patrizzi, car il peut contenir des imprécisions. Ce répertoire est toutefois précieux, car il aide à pister de nombreux intervenants cités dans les documents. « Dassier Frères : Amy et Jean. S’associent à Colladon et Roux de 1779 à 1791. Fournissent des montres à la maison Droz. Montres compliquées ornées de perles et d’émail. Ami : Horloger. Associé avec son frère Jean et Jean-Étienne Colladon de 1779 à 1785. Dassier : Émailleur. Fournit à la maison Droz des boîtes émaillées et coffrets pour des oiseaux chanteurs. De 1783 à 1785. » Patrizzi Osvaldo, Dictionnaire des horlogers genevois. La « fabrique » et les Arts annexes du XVIe siècle à nos jours, Genève : Antiquorum Éditions, 1998.
AEG : Commerce, D2, Livre des inscriptions des sociétés des négociants enregistrés en chancellerie. Livre B. 1785-1805, p. 115.
Il importe parfois de dissocier les affaires privées et les affaires commerciales dans la correspondance. Jean-Frédéric Leschot suggère en effet à son demi-frère Tite de lui indiquer dans un billet à part si ce dernier devait avoir des soucis ; les deux seront ainsi seuls à le savoir. BGE : Ms. Suppl. 962, p. 28-29, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 2 juillet 1794. Leschot conseillera encore à son demi-frère de ne « copié seulement ce qui est relatif aux affaires de commerce ». BGE : Ms. Suppl. 962, p. 111-113, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 3 février 1795.
1 livre sterling vaut alors 24 livres tournois, ce qui semble être le cas avec la mention des livres de France. 200 000 livres equivalent donc à 11 250 livres sterling. Par ailleurs, 1 livre sterling correspond à environ 14,5 livres courantes de Genève. 400 000 livres courantes de Genève font donc approximativement 27 500 livres sterling. Ces chiffres restent sujets à caution puisque les taux de change évoluent beaucoup pendant cette période instable. « Change », in Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce, tome premier A=E, Amsterdam : chez les Jansons à Waesberge, 1726, p. 634-636.
Documents pris en considération pour l’établissement de ce tableau : AVN Fa Jaquet-Droz : livres de comptes JDL 1781-1786 et 1784-1787 (enregistrement de ventes entre 1784 et 1787) ; BGE : Ms. Suppl. 958 : livre de comptes JFL 1792-1802 (en regard avec Ms. Suppl. 959) ; BGE : Ms. Suppl. 960 : livre de comptes JFL 1802-1808.
Un logiciel fourni par les archives nationales anglaises offre la possibilité de disposer d’équivalences monétaires avec des valeurs plus ou moins actuelles (2005). Il est cependant à manipuler avec beaucoup de précaution. url : http://www.nationalarchives.gov.uk/currency/default0.asp#mid. Selon ce convertisseur, 50 livres sterling en 1780 équivaudraient à 3 142 livres sterling en 2005.
Breguet, Emmanuel, Breguet. Horloger depuis 1775. Vie et postérité d’Abraham-Louis Breguet (1747- 1823), Paris : Swan, 2016, p. 399.
Collection privée : Livres de comptes [IDL 1786-1791] et [1790-1791].
Breguet Emmanuel, Breguet, horloger depuis 1775 : vie et postérité d’Abraham-Louis Breguet (1747-1823), Paris : Swan, 2016, p. 403.
« Comme l’a montré Helen Clifford, au cours du XVIIIe siècle, le rapport traditionnel de 5 à 1 entre prix du métal et prix de la façon évolue vers un rapport unitaire ; le prix payé par le consommateur pour le travail équivaut peu à peu à celui pour la matière précieuse, signalant la montée d’un nouveau système de valeur, où la variété des dessins et notamment des finitions de surface, pour des articles diversifiés prend le pas sur la possession et l’ostentation des richesses d’or et d’argent. » Hilaire-Pérez Liliane, La pièce et le geste…, p. 169.
Par exemple ici : Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], p. 9.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 96-97, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 29 mars 1793.
Une mention intéressante concernant la répartition des diamants, enregistrés à part, et en l’occurence à moitié du compte pour Jean Duval & fils, indique que 46 brillants sont utilisés pour certaines tabatières, alors que d’autres en nécessitent 128. La taille des tabatières explique bien sûr une partie de cette différence qui tient à la surface incrustrée et donc à la richesse prévue pour certaines pièces. Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], p. 35, 15 mars 1790.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 7-9, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 5 mai 1792.
BGE : Ms. suppl. 962, p. 165-166, lettre de J.-F. Leschot à Joseph Samson, 9 septembre 1795.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 7-9, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 5 mai 1792.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 51.
Bertrand Michel, Lemercier Claire, « Où en est l’analyse de réseaux en histoire ? »…
Smith Roger, « Les artisans étrangers au service de James Cox… », p. 73-99.
Crouzet François, La guerre économique franco-anglaise au XVIIIe siècle, Paris : Fayard, 2008, p. 245. Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain…, p. 170 ; Verley Patrick, L’échelle du monde…, p. 321-322.
Les inventaires Jaquet-Droz mentionnent que certains ouvriers sont logés dans les ateliers : à titre d’exemple, notons qu’ils sont trois ouvriers et une domestique à être logés, blanchis et nourris dans l’atelier de Henry-Louis Jaquet-Droz à Londres en 1785. AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire du 1er février 1785 entre Jaquet Droz & Maillardet, manuscrit non numéroté.
Riello Giorgio, « Strategies and Boundaries : Subcontracting and the London Trades in the Long Eighteenth Century », in Enterprise and Society, vol. 9, no. 2, 2008, p. 243-280, p. 243.
Riello Giorgio, « Strategies and Boundaries… », p. 243-280, p. 268.
Peréz Liliane, Verna Catherine, « La circulation des savoirs techniques du Moyen Âge à l’époque moderne. Nouvelles approches et enjeux méthodologiques », in Tracés. Revue de Sciences humaines, no. 16, 2009, p. 25-61.
« Néanmoins, la présence d’horlogers genevois joue un rôle essentiel dans deux secteurs clefs : la fabrication des boîtes de montres et la fabrication des ressorts. […] la présence déclinante des horlogers originaires du littoral n’est pas inintéressante non plus. Il est fort probable que ce soit par le pied du Jura que l’horlogerie se soit introduite dans les Montagnes. Quoi qu’il en soit, cette présence devient négligeable lorsque l’horlogerie chaux-de-fonnière atteint le stade proto-industriel. Quant aux horlogers originaires de France, leur importance croît. » Fallet Estelle, Scheurer Hugues, « Les archives notariales… », p. 97-113, p. 110.
ACCF : 220, État spécificatif des Maisons et de ceux qui y habitent distingués par leur sexe, profesions, arts & mettiers, de la jurisdiction de la chaux de fonds […] du 28 aoust 1750 .
ACCF : 220, État spécificatif des Maisons…
ACCF : 222, Recensement de la population de 1769.
ACCF : 222, Recensements de la population de 1765, 1775 et 1800.
ACCF : 220, État spécificatif des Maisons…
Blanchard propose une division succincte des professions horlogères en fonction de ses principales branches, que nous transcrivons ici. Travail du métal : découpage des platines, réalisation des ponts et autres pièces ; Forge : fabrication des ressorts, de spiraux ; Mécanique : réalisation des trains d’engrenages comme les roues, les pignons et les axes ; Échappement : fabrication des ancres, des roues de rencontre ou d’échappement ; Émail, peinture : réalisation des cadrans et des aiguilles ; Orfèvrerie : fabrication des boîtes de montres ; Gravure : apprêtage des platines, des ponts, des coqs, des boîtes, des cadrans et des inscriptions diverses ; Dorure : couverture des diverses pièces en acier ou en laiton, traitement de surface des mouvements ; Polissage : de l’acier ou du laiton ; Sertissage : des pierres dans la platine et les ponts ; Achevage : remontage de l’échappement ; Réglage : préparation du balancier ; Pose : du cadran et des aiguilles ; Réglage : contrôle des derniers réglages ; Emboîtage : vérification du bon fonctionnement. Blanchard Philippe, « Une production éclatée », in Bujard Jacques, Tissot Laurent (dir.), Le pays de Neuchâtel et son patrimoine horloger…, p. 19-20.
ACCF : 220, État spécificatif des Maisons…
« L’on fit des pendules à la Chaux-de-Fonds avant que d’y constuire des montres de poches ; tandis qu’au Locle, ce fut le contraire. » BPUN : Ms 1604, [Perret Phinnée], Notice historique sur l’industrie…, p. 4.
Ostervald Frédéric-Samuel, Description des montagnes et des vallées…, 1766.
Au début du siècle, la population n’atteint pas les 1 000 habitants. Barrelet Jean-Marc, « La Chaux-de-Fonds », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/002837/2010-02-25/ version du 25 février 2010.
Si les femmes sont majoritaires, il est fait mention de quelques hommes faiseurs de dentelles.
Fallet Estelle, « L’apprentissage de l’horlogerie au xviiie siècle dans les Montagnes neuchâteloises : éclairages sur le développement de l’industrie locale », in Lamard Pierre (dir.), Les Cahiers de RECITS, Laboratoire de recherche sur les choix industriels, technologiques et scientifiques, Belfort : Université de technologie, no. 1, 2001-2002, p. 49-62, p. 52.
ACCF : 222, Recensement de la population de 1790.
ACCF : 222, Recensement de la population de 1800.
Cop Raoul, Histoire de La Chaux-de-Fonds…, 2006.
Béguelin Sylvie, Scheurer Hugues, Répertoire raisonné des horlogers neuchâtelois du XVIIIe et XIXe siècles, La Chaux-de-Fonds : Institut l’Homme et le Temps, 1993 ; Bourdin Jean-Paul, Fallet Estelle, Répertoire des horlogers loclois XVIIIe-XXe siècle, Le Locle : Musée d’horlogerie du Locle – Château des Monts, 2005 ; Barrelet Jean-Marc, Ramseyer Jacques, La Chaux-de-Fonds, ou, Le défi d’une cité horlogère, 1848-1914, La Chaux-de-Fonds : Éditions d’En haut, 1990.
Ostervald Frédéric-Samuel, Description des montagnes et des vallées…
Landes David Saul, « A Case Study in Enterprise and Change », in The Business History Review, vol. 53, no. 1, spring 1979, p. 1-39, p. 12 ; Landes David Saul, « Histoire des montres suisses », in L’Histoire, no. 23, mai, 1980, p. 26-34, p. 28.
« Because the guilds often blocked the attempts of merchants to control production directly, it is not surprising that merchants turned to rural workers. » Bossenga Gail, « Protecting Merchants : Guilds and Commercial Capitalism in Eighteenth-Century France », in French Historical Studies, vol. 15, no. 4, autumn 1988, p. 693-703, p. 696.
Le régent prodigue un enseignement élémentaire : lecture, écriture, arithmétique, catéchisme et chant des psaumes. Pour le reste, ceux qui souhaitent bénéficier d’une instruction plus développée accueillent un maître à domicile ou se rendent chez un enseignant. Cop Raoul, Histoire de La Chaux-de-Fonds…
Blanchard Philippe, L’établissage…, p. 17.
Données démographiques sur Londres : url : https://www.oldbaileyonline.org/static/London-lifelate18th.jsp#population (consulté le 11 septembre 2017).
Des listes d’horlogers inscrits au registre de la corporation des horlogers existent, dont celle-ci, compilée à partir de l’ouvrage d’Atkins et qui concerne essentiellement les apprentis horlogers aux xviie, xviiie et xixe siècles. url : http://www.clockmakers.org/wp-content/uploads/2013/06/CCMASTERSFINAL-amended-31May13.pdf (consulté 29 septembre 2017). Atkins Charles Edward, Register of Apprentices of the Worshipful Company of Clock-Makers of the City of London from its incorporation in 1631 to its tercentenary in 1931, London : Butler & Tanner, 1931.
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Robert Campbell en réalité.
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BPUN : Ms 1169, folios 238-259, folio 249.
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Chapuis Alfred, La montre « chinoise »…, p. 70 ; Gibertini Dante, « Liste des horlogers genevois du xvie au milieu du xixe siècle », in Genava, tome 12, 1964, p. 217-246.
Le premier règlement de la corporation, organisée en jurande, date de 1566.
Babel Antony, Les métiers dans l’ancienne Genève. Histoire corporative de l’horlogerie, de l’orfèvrerie et des industries annexes, Genève : A. Jullien Georg & Co libraires-éditeurs, 1916.
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Le règlement des horlogers de 1601 est aussi conservé aux AEG.
AEG : PH 5182 : Règlement sur les horlogers approuvé au Magnifique Conseil des Deux-Cent le 13 avril 1785, A Genève : chez Jean-Léonard Pellet, imprimeur de la République, 1785. Les maîtrises seront abolies en 1798. Mottu-Weber Liliane, « L’économie genevoise de l’annexion à la restauration (1798-1813) : entre marasme et inventivité », in Mottu-Weber Liliane, Droux Joëlle (éd.), Genève française 1798-1813 : nouvelles approches. Actes du colloque tenu du 12 au 14 novembre 1998, Genève : Société d’histoire et d’archéologie de Genève, 2004, p. 205-221, p. 213.
Landes David Saul, L’orologio nella storia…, p. 222, 246.
Babel Antony, Les métiers dans l’ancienne Genève… ; Landes David Saul, L’orologio nella storia…, p. 248.
Porret Michel, « Genève républicaine au xviiie siècle : réalité des représentations et représentations de la réalité », in Buscaglia Marino, Sigrist René, Trembley Jacques, Wüest Jean (éd.), Charles Bonnet…, p. 3-17.
BGE : Ms. Suppl. 110, Recueil de pièces relatives au Commerce et à l’industrie de Genève pendant l’occupation française. 1 : « Mémoire sur le commerce & la fabrique d’horlogerie & bijouterie de Genève », manuscrit non numéroté. »
Les mêmes craintes d’une transplantation de savoir-faire et de machines concernent l’Angleterre. Harris John Raymond, Industrial Espionage and Technology Transfer…, p. 7-27.
BGE : Ms. Suppl. 110, Recueil de pièces relatives au Commerce et à l’industrie de Genève pendant l’occupation française. 1 : « Mémoire sur le commerce & la fabrique d’horlogerie & bijouterie de Genève », manuscrit non numéroté.
Landes David Saul, L’orologio nella storia…, p. 250 ; Mottu-Weber Liliane, « L’économie genevoise... ».
Le recensement professionnel de la ville publié le 6 juin 1789 par le Journal de Genève indique l’éclatement des professions. Blanchard Philippe, L’établissage…, 2011, p. 60-61.
Piguet Martine, « Genève (commune) », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2903.php, version du 21 août 2015.
Chapuisat Édouard, Le commerce et l’industrie à Genève pendant la domination française : 1798-1813, Genève & Paris : A. Jullien Georg & Champion, 1908.
Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 73.
Sougy Nadège, « Liberté, légalité, qualité : le luxe des produits… », p. 71-84.
AEG : PH 5182 : Règlement sur les horlogers approuvé au Magnifique Conseil des Deux-Cent le 13 avril 1785, A Genève : chez Jean-Léonard Pellet, imprimeur de la République, 1785, p. 18.
La problématique du contrôle des matières précieuses n’est pas propre au xviiie siècle. Un siècle plus tard le bureau de contrôle des matières précieuses, établi à La Chaux-de-Fonds, acceptera des valeurs de 18, voire de 14 carats, favorisant une production de boîtes de montres à prix plus bas. Barrelet Jean-Marc, Ramseyer Jacques, La Chaux-de-Fonds…, p. 58.
BGE : Ms. Suppl. 110, Recueil de pièces relatives au Commerce et à l’industrie de Genève pendant l’occupation française. 1 : « Mémoire sur le commerce & la fabrique d’horlogerie & bijouterie de Genève », p. 2.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 58-60, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 22 décembre 1792.
Piuz Anne-Marie, Mottu-Weber Liliane, L’économie genevoise de la Réforme à la fin de l’Ancien Régime : XVIe-XVIIIe siècles, Société d’histoire et d’archéologie de Genève, Genève : Georg, 1990, p. 485-499.
Babel Antony, Histoire corporative de l’horlogerie, de l’orfèvrerie et des industries annexes , Genève : A. Jullien Georg, 1916 ; Donzé Pierre-Yves, L’invention du luxe…, p. 17.
Roche Daniel, Histoire des choses banales…, p. 25-26.
Dubler Anne Marie et al., « Bienne », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F222.php, version du 23 janvier 2018.
Margairaz Dewarrat Laurence, « Vallée de Joux », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F7588.php, version du 4 janvier 2017.
Donzé Pierre-Yves, L’invention du luxe…, p. 20 ; Jequier François, De la forge à la manufacture horlogère…, p. 62.
Léchot Pierre-Olivier, « La Neuveville », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F431.php, version du 20 octobre 2011.
Augarde Jean-Dominique, Les ouvriers du temps. La pendule à Paris de Louis XVI à Napoléon Ier. Ornamental clocks and Clockmakers in Eighteenth Century Paris, Genève : Antiquorum Éditions, 1996 ; Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 104.
« On appelle à Paris Lieux privilégiés, ou plutôt prétendus Privilégiés, ceux dans lesquels des Artisans & Ouvriers, sans avoir été reçus à la Maîtrise dans aucun Corps ou Communauté des Arts & Métiers, ont la liberté de les exercer sans être sujets à la juridiction & la visite des Maîtres de ces Communautés. […] Les lieux privilégiés ou prétendus privilégiés de Paris, sont le Fauxbourg S. Antoine, le Cloître & Parvis Notre-Dame, la Cour saint Benoît, l’enclos de saint Denis de la Chartre, celui de saint Germain des Prez, celui de saint Jean de Latran, la rue de Loursine, l’enclos de saint Martin des champs, la Cour de la Trinité, & celle du Temple […] Les Palais & Hôtels des Princes du Sang sont aussi respectés comme des lieux privilégiés, & même les Colleges de l’Université, ont des espèces de privilèges, particulierement pour les Ouvriers & Artisans qui leur servent de Portiers, […]. » « Privilégiés », in Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce…, tome second F=Z, p. 1228.
Mentionnons, à ce sujet, les privilèges que le roi octroyait à des artistes – ceux-ci s’acquittaient d’une sorte de licence pour ne pas payer les taxes dues à la corporation – qui étaient logés dans une « enclave » au palais du Louvre, exempte des règles corporatives. Landes David Saul, L’orologio nella storia…, p. 217.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 130.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 102, 116.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 147-153, 50.
Coquery Natacha, « Marketing and Distributing… », p. 71-89.
« Mémoire sur la manufacture d’horlogerie »…, p. 184-188 ; Sgard Jean (dir.), Dictionnaire des journaux 1600-1789, Paris & Oxford : Universitas & Voltaire Foundation, notice 397, 2 vol., 1991.
Elle se confirme par les divers projets proposés au gouvernement de créer des manufactures d’horlogerie à Grenoble, à Besançon et à Versailles afin de court-circuiter l’importation des pièces dites communes, dont des ébauches, fabriquées en Suisse. Des manufactures dont la courte vie témoigne de la non-adéquation du système proposé. Archives nationales, Paris : F/12/1325/A : Manufactures. Horlogerie xviiie siècle ; F/12/1326 : Manufactures Horlogerie. Manufacture de Versailles ans II-IX. Chagny Robert, « À propos des relations économiques entre la France et Genève à la veille de l’annexion : la tentative de délocalisation à Grenoble d’une manufacture genevoise d’horlogerie », in Mottu-Weber Liliane, Droux Joëlle (éd.), Genève française…, p. 241-258. Nous aborderons ce point au chapitre « Débats industriels… », p. 462-466.
Il n’y a pas de listes systématiques d’ateliers d’horlogers à Paris et dans l’ensemble, nombreux sont ceux qui échappent à un contrôle officiel. Il est toutefois possible d’en retrouver la trace par les faillites, les mariages ou autres actes notariés.
Accéder à la maîtrise pouvait d’ailleurs se faire autrement qu’en réalisant un chef-d’œuvre, notamment par des dispositions spéciales édictées par le roi ou alors en achetant le droit d’accession à la maîtrise. Augarde Jean-Dominique, Les ouvriers du temps…
Bossenga Gail, « Protecting Merchants… », p. 693-703, p. 694.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 119.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 104.
Les inventaires de société de Josué Robert & fils & cie (1781-1785) et de J. Robert & fils & Courvoisier (1789, 1791 et 1804) sont conservés au MIH : Fonds Robert, ROB.002.001-008.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 134-135, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 2. Juin 1796.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 36, lettre de J.-F. Leschot à Samuel Roy, 4 juin 1796.
« Petite pendulette de table de forme rectangulaire en laiton avec une poignée au dessus de la cloche ». Huguenin Régis (dir.), Piguet Jean-Michel (avec la collaboration de), Baldi Rossella (avec l’appui scientifique de), La neuchâteloise…, p. 108, 228. D’un point de vue formel, la pendule à capucine ressemble aux pendules à l’anglaise, de forme rectangulaire et se posant à plat.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 36, lettre de J.-F. Leschot à Samuel Roy, 4 juin 1796.
Bujard Jacques, Tissot Laurent (dir.), Le pays de Neuchâtel et son patrimoine horloger… ; Fallet Estelle, « Samuel Roy », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F46261.php, version du 16 février 2010.
Klauser Eric-André, « Abraham-Louis Breguet »… ; Breguet Emmanuel, Minder Nicole, De Pierri Rodolphe (dir.), Abraham-Louis Breguet …
Chapuis Alfred, « Nouveaux documents sur les automates… », p. 33-42 ; Montandon Léon, Chapuis Alfred, « Les Maillardet »…, p. 152-167, 1917, p. 24-45.
Piguet Jean-Michel, Cardinal Catherine, Catalogue d’œuvres choisies, Musée international d’horlogerie, La Chaux-de-Fonds : Institut l’Homme et le Temps, 1999, p. 28-30.
MIH : Fonds Robert, ROB 1.1 à 2.8. Inventaires de fonds de commerce entre 1781 et 1804 (1781-1786, 1789, 1791 et 1804).
MIH : ROB.002.002, Inventaire général du commerce de J. Robert et fils & comp. Dressé au 1er juin 1782, p. 28.
Dequidt Marie-Agnès, « Copier l’art ou la manière ? L’imitation de l’horlogerie parisienne (fin xviiie-début xixe siècle) », in Entreprises et Histoire, 2015, no. 78, p. 27-35.
Berthoud Ferdinand, « Lettre sur l’Horlogerie, contenant quelques Remarques sur les principales parties de cet Art & sur les Personnes qui ont le plus contribué à le perfectionner », in Journal Helvétique, 1753, p. 496-513.
Chapuis Alfred, « Une lettre de Ferdinand Berthoud à Pierre Jaquet-Droz en 1753 », in La Suisse horlogère, 1949, no. 2, p. 49-52.
Berthoud Ferdinand, « Lettre sur l’Horlogerie… », p. 498.
Tissot André, Voyage de Pierre Jaquet-Droz… ; « Voyage de Jaquet-Droz en Espagne en 1758 d’après des extraits du journal de son beau-père et compagnon de voyage Abram-Louis Sandol [sic] », in Musée neuchâtelois, 1866, p. 77-83 sqq.
Chapuis Alfred, Histoire de la pendulerie…, p. 150-153. Rappelons que Berthoud est passé également à la postérité grâce à ses traités sur l’horlogerie et ses articles techniques publiés dans L’Encyclopédie. Berthoud Ferdinand, Essai sur l’horlogerie… ; Berthoud Ferdinand, Traité des Horloges Marines… ; Berthoud Ferdinand, Histoire de la Mesure du Temps… Berthoud Ferdinand, « Horlogerie »…, p. 303. Berthoud a publié de nombreuses auto-recensions dans le Journal helvétique, au fil du temps. Ainsi, pour promouvoir l’Essai sur l’Horlogerie : « Lettre sur l’Horlogerie… », p. 101-111 ; et pour promouvoir le Traité des horloges marines : « Lettre sur l’Horlogerie, contenant quelques Remarques sur les principales parties de cet Art & sur les Personnes qui ont le plus contribué à le perfectionner », in Nouveau Journal helvétique, 1773, p. 3-17. Je remercie Timothée Leschot et Rossella Baldi pour ces précieuses informations.
Cardinal Catherine (dir.), Ferdinand Berthoud, 1727-1807…
« Ce qui me porte à vous écrire est l’envie de m’instruire et de vous faire part de mes remarques que j’ai faites dans l’Horlogerie. Je vous invite à me communiquer de même vos sentiments. La combinaison de nos différentes idées, de nos expériences et de celles des personnes qui ont excellé dans l’Horlogerie, pourra du moins servir à nous rendre utile à nous-mêmes, et peut-être encore à la société ». Berthoud Ferdinand, « Lettre sur l’Horlogerie… », p. 496-497.
BVCF : NB. 37, Journal d’Abram Louis Sandoz [octobre 1748 - décembre 1756].
Baldi Rossella, Un inspecteur des manufactures observant l’Italie…
Julien Le Roy est un horloger français né à Tours en 1686 et mort à Paris en 1759. Horloger du roi et père, notamment, de Pierre Le Roy (1717-1785) également horloger. http://www.getty.edu/art/collection/artists/550/julien-le-roy-french-1686-1759-master-1713/ (consulté le 18 juillet 2016) ; Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 175.
Nous avons évoqué cette référence dans la partie précédente à propos de la mention par Malesherbes qui, en 1778, parle de la présence de Henry-Louis Jaquet-Droz à Londres : « Son fils est à présent établi en Angleterre où le Roy le fait travailler […] » Le doute subsiste sur le fait de savoir s’il est fait référence à Julien Le Roy, actif à Paris, avec qui Henry-Louis Jaquet-Droz est en contact ou s’il s’agit du roi d’Angleterre.
Platière Jean-Marie Roland de la, Lettres écrites de Suisse, d’Italie, de Sicile et de Malthe…, p. 156-161.
Guyot Charly, « Relations intellectuelles franco-neuchâteloises vers 1780 », in Musée neuchâtelois, 1940, p. 97-105 ; 1941, p. 15-26.
BVCF : D.1853, Journal du voyage d’Espagne de Jaquet Droz ; Tissot André, Voyage de Pierre Jaquet-Droz…
Ostervald Frédéric-Samuel, Description des montagnes et des vallées…
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], p. 4-5.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 252-253, lettre de J.-F. Leschot à J.-D. Maillardet, mai 1805.
Le blocage complet des importations françaises en Angleterre est de courte durée en 1678, en 1689 et en 1705, bien que des droits de douane élevés soient perçus la plupart du temps. Crouzet François, La guerre économique franco-anglaise au XVIIIe siècle…, p. 40.
Dermigny Louis, La Chine et l’Occident. Le commerce à Canton au XVIIIe siècle. 1719-1833, thèse de doctorat, Paris : Imprimerie nationale, 1964, 3 tomes, vol. 2, p. 634-635.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 53, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils de Londres le 19 septembre 1794.
Mottu-Weber Liliane, « L’économie genevoise... »
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 66.
S’entend ici la principauté de Neuchâtel.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 175. Elle développe encore : « Si le nombre de faillites enregistrées diminue après 1792, c’est sans doute que, la période révolutionnaire ayant engendré une désorganisation de l’horlogerie, les déclarations de faillites ne se font plus de la même façon. […] L’absence de déclarations de faillites jusqu’en 1800 ne correspond donc pas à une période tranquille pour le métier. » p. 177.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Notice historique su M. Henry Louis Jaquet-Droz, fils de Mons. Pierre Jaquet- Droz, né à la Chaux de Fonds en 1752, membre du Comité général de la Société pour l’avancement des Arts à Genève, par M. Le Pasteur Senebier, p. 7.
Bertrand Gilles, « Grand Tour », in Christin Olivier (dir.), Dictionnaire des concepts nomades en sciences humaines, Paris : Éditions Métailié, 2010, p. 171-187.
Whatmore Richard, « Geneva, an English Enclave ? A Contextual Introduction », in Cossy Valérie, Kapossy Béla, Whatmore Richard, Genève, lieu d’Angleterre, 1725-1814, Genève : Éditions Slatkine, 2009, p. 11-35, p. 12-13. Il s’agit bien d’un exil politique, motivé par les troubles qui secouent Genève dans le courant du xviiie siècle.
Il contribue à hauteur d’une guinée par année pendant huit ans (1777-1784). Henry Maillardet n’est pas non plus membre, mais fait partie des « bienfaiteurs », comme Henry-Louis Jaquet-Droz, de 1791 à 1797. AEG : Sociétés 15, Sociétés des Suisses de Londres, D2-Comptes 1729-97, folios 6, 15, 31. Je remercie Roger Smith de m’avoir transmis cette précieuse information. Smith Roger, « Justin Vulliamy… », p. 327-345, p. 331, 341-342.
BVCF : D.1853, Journal du voyage d’Espagne de Jaquet-Droz, p. 120, 26 juillet 1758, puis notamment p. 277, 280-284, 286-291, s.d.
Smith Roger, « The Swiss Connection… », p. 123-139, p. 125 ; Mottu-Weber Liliane, « Apprentissages et économie genevoise… », p. 321-353.
Cette précision figure dans une lettre que Leschot adresse à Louis Georges en 1792. BGE : Ms. Suppl. 961, p. 18, lettre de J.-F. Leschot à Louis Georges, 14 août 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 76-78, lettre de J.-F. Leschot à Louis Georges, 13 février 1793.
Clifford Helen, « Concepts of Invention… », p. 241-255 ; Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain… ; Carnevali Francesca, « Luxury for the masses… », p. 56-70.
Crouzet François, La guerre économique franco-anglaise au XVIIIe siècle…, p. 81. Sur la quincaillerie anglaise et les divers autres produits d’exportation à la mode dans toute l’Europe, p. 211, 245. Jahier Hugues, « La “quincaillerie” anglaise… », p. 18-42 ; Jahier Hugues, « Les acquisitions de fournitures et outillage… », p. 3-27.
Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain…, p. 20.
Verley Patrick, L’échelle du monde…, p. 289-300.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 124-125, lettre de J.-F. Leschot aux frères Himely, 19 avril 1797.
Robey John A., « Eardley Norton’s 1771 Patent for Striking Clocks & Repeating Watches », in Antiquarian Horology, vol. 30/1, 2007, p. 88-95. Des notices biographiques sont disponibles ici : url : https://www.royalcollection.org.uk/collection/30432/astronomical-clock (consulté le 7 mars 2018).
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 111-113, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 3 février 1795.
Moïse Jaquet-Droz est le parrain de Henry-Louis Jaquet-Droz. Il travaille pour lui comme graveur, en tout cas à partir de 1784. Il est aussi procureur pour la liquidation de la succession de Pierre Jaquet-Droz, aux côtés d’Ami Dassier, et gère les affaires de Henry-Louis Jaquet-Droz à La Chaux-de-Fonds.
« Subcontracting was a consequence of the increasing complexity of the very concept of making. It triggered profound changes in the way goods reached consumers. No longer would the vendor of a commodity also have been the artisan producing it. » Riello Giorgio, « Strategies and Boundaries… », p. 243-280, p. 258.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 151-152, lettre de J.-F. Leschot à Samuel Roi & fils, 26 août 1795.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 207-208, lettre de J.-F. Leschot à Samuel Roi & fils, 22 janvier 1796.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 127-128, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 5 mai 1797.
Crouzet François, La guerre économique franco-anglaise au XVIIIe siècle…, p. 84 ; Verley Patrick, L’échelle du monde…, p. 512-538.
Harris John Raymond, Industrial Espionage and Technology Transfer…, p. 7-27, p. 27. Hilaire-Pérez Liliane, « Transferts technologiques, droit et territoire: le cas franco-anglais au xviiie siècle.”, in Revue d’histoire moderne et contemporaine (1954-), vol. 44, no. 4, 1997, p. 547–579. JSTOR, www.jstor.org/stable/20530286 (consulté le 30.07.2019)
Les soies françaises sont appréciées en Angleterre comme les outils, les étuis ou les toys anglais sont appréciés en France. Sargentson Carolyn, Merchants and luxury markets…, p. 113-119.
Breguet Emmanuel, « La nécessité de l’extérieur : le réseau international de Breguet », in Breguet Emmanuel, Minder Nicole, De Pierri Rodolphe (dir.), Abraham-Louis Breguet …, p. 79-137.
Le marchand Charles Dumergue est également en relation avec les Jaquet-Droz et avec Leschot. Ce dernier figure comme témoin de mariage de Henry Maillardet à côté de Henry-Louis Jaquet-Droz. AVN : Fa Jaquet-Droz : divers inventaires et livres de comptes.
Pour la maison Breguet, après la crise consécutive à la Révolution française, les affaires reprennent vers 1800 bien qu’elles restent irrégulières. Des années dites « hautes » – 1802, 1803, 1806, 1807 avec dix-huit pièces vendues en Angleterre, ce qui représente 11 % du volume des ventes totales – succèdent à des années dites « basses » – 1801, 1804, 1805, 1808 avec moins de six pièces vendues en Angleterre. Breguet Emmanuel, « La nécessité de l’extérieur… », p. 79-137.
Lettre citée dans : Breguet Emmanuel, « La nécessité de l’extérieur… », p. 79-137.
Hilaire-Pérez Liliane, La pièce et le geste…, p. 225 ; Chapuis Alfred, « Pendules de la Collection Wallace »…
Belfanti Marco, « Guilds, Patents, and the Circulation of Technical Knowledge : Northern Italy during the Early Modern Age », in Technology and Culture, vol. 45, no. 3, July 2004, p. 569-589 ; Cotte Michel (dir.), Circulations techniques en amont de l’innovation : hommes, objets et idées en mouvement, Besançon & Belfort : Presses universitaires de Franche-Comté & Université de technologie de Belfort-Montbéliard, 2004.
Société fondée vers 1745 dans le but de lutter contre l’afflux de marchandises françaises. Elle mit en place des prix pour récompenser des produits fabriqués en Angleterre et resta active jusqu’à la fin des guerres napoléoniennes.
Smith Roger, « The Swiss Connection… », p. 123-139, p. 123.
Blond Stéphane, Hilaire-Pérez Liliane, Virol Michèle (dir.), Mobilités d’ingénieurs en Europe…, p. 20.
Smith Roger, « Justin Vulliamy… », p. 327-345.
Scheurer Hugues, « Mobilités et migrations professionnelles à Neuchâtel et en Suisse (fin xviiie-milieu xxe siècle) », in Revue historique neuchâteloise, 2001, p. 21-33.
Leur apport reste toutefois considérable s’agissant de la mise en exergue de certains objets grâce à une approche technicienne et à une compréhension fine des objets.
Calame Caroline, « Marius Fallet », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/046262/2006-03-27/, version du 27 mars 2006.
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Favre Maurice, « Éloge des Jaquet-Droz »…, p. 123-127.
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Roche Daniel, Histoire des choses banales…, p. 27-28.
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Notice biographique sur : http://www.iep.utm.edu/mandevil/ (consulté le 10 mars 2018).
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« marchand qui ne fait rien & qui vend de tout. » « Mercier », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 10, p. 369 ; Sargentson Carolyn, Merchants and luxury markets…
Sur Lazare Duvaux: Vriz Silvia, « Lazare Duvaux (vers 1703-1758) », in Herda-Mousseaux Rose-Marie (dir.), La Fabrique du luxe. Les marchands merciers parisiens au XVIIIe siècle , Paris : Paris-Musées, 2018, p. 143-147.
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Carnevali Francesca, « Luxury for the masses… », p. 56-70, p. 56.
« […] c’est un objet de luxe oriental […] ». BGE : Ms. Suppl. 961, p. 243-244, lettre de J.-F. Leschot à Frédéric Romberg, 18 mars 1794. La lettre dont est extrait ce passage est analysée au chapitre « Prospecter d’autres marchés… », p. 390-394.
Sougy Nadège, « Luxes et internationalisation… », p. 21-31, p. 23.
Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce…
Sur le développement d’un vocabulaire des qualités pour caractériser des nouveaux produits, voir : Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 63-65.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 176-177, lettre de J.-F. Leschot aux frères Himely, 13 novembre 1793.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 33-34, lettre de J.-F. Leschot aux frères Himely, 23 juillet 1794.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 29-30, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils & co, 27 avril 1798.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 29-30, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils & co, 27 avril 1798.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 76-78, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils, 21 avril 1792.
BGE : Ms. Suppl. 958, Livre de compte IDL 4, p. 6, note 17-12, 19 octobre 1792.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 76-78, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils, 21 avril 1792.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 68, lettre de J.-F. Leschot à Louis Georges, 31 octobre 1794.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 139-141, lettre de J.-F. Leschot à Courvoisier Frères, 13 juin 1797.
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], not. p. 29.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 45-46, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval, 17 novembre 1792.
Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 65.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 76-78, lettre de J.-F. Leschot à Louis Georges, 13 février 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 45-46, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval, 17 novembre 1792. (Souligné dans le texte).
Riello Giorgio, « Strategies and Boundaries… », p. 243-280, p. 259.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 116-118, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 14 février 1795.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 209-212, lettre de J.-F. Leschot à Nicolas Denis, 25 janvier 1796.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 31-32, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils & co, 18 juillet 1794.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 146-148, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 31 juillet 1793.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 11, lettre de J.-F. Leschot à [Jean Duval & fils], non datée [avril-mai 1794].
Pérez Liliane, « Technology, Curiosity and Utility… », p. 25-42, p. 38 ; également à ce sujet Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 63-64.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 146, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils & co, 12 août 1795.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 125, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 3 avril 1795.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 58-60, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 22 décembre 1792.
Tissot Laurent, « Entreprises, cheminements technologiques et innovation »…, p. 113-130, p. 114.
Diderot Denis, « Copiste », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 4, p. 117.
Landois, « Copiste », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 4, p. 117.
Bernasconi Gianenrico, Objets portatifs au Siècle des Lumières…, p. 124-125. « Placé au carrefour des arts par sa graphie à double résonance, le “dessein” allait donc être enseigné en tant qu’il était “très nécessaire” aux “arts les plus communs, qui se bornent à l’intérieur de notre ville […]” ». Buyssens Danielle, La question de l’art à Genève…, p. 67.
Berg Maxine, « From Imitation to Invention… », p. 1-30.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 85-87, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 13 mars 1793.
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], not. p. 3, 10, 29.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 154-157, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 4 septembre 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 162-163, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 25 septembre 1793.
Il est difficile de dire s’il s’agit ici de Henry-Daniel Capt ou de Ferdinand Capt.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 154-157, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 4 septembre 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 171-174, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 6 novembre 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 85-87, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 13 mars 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 111-112, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 14 mai 1793.
Judet Pierre, « Horlogerie et horlogers du Faucigny xixe-xxe siècles. Bilan historiographique », in Mayaud Jean-Luc, Henry Philippe, Horlogeries…, p. 83-94 ; Judet Pierre, Horlogeries et horlogers du Faucigny (1849-1934) : les métamorphoses d’une identité sociale et politique, Grenoble : Presses universitaires de Grenoble, 2004.
Grange Didier, « Voltaire et les horlogers de Ferney », in Candaux Jean-Daniel, Starobinski Jean, Deuber Erica et al., Voltaire chez lui. Genève et Ferney, Genève : Skira, 1994, p. 243-527.
Jequier François, De la forge à la manufacture horlogère…
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 154-157, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 4 septembre 1793.
Breguet Emmanuel, Minder Nicole, De Pierri Rodolphe (dir.), Abraham-Louis Breguet …
« Je me mefie des Maire, des Breguet & de quelques autres que je suspecte & Il a meme lieu de présumer que c’est à l’instigation d’un d’Eux – ou d’autres qui cherchent à nous nuire - que cela m’a été proposé, afin qu’en adherant à la comission on me mit en défaut, vis-à-vis de mes commettants. » BGE : Ms. Suppl. 961, p. 202-203, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 16 janvier 1796.
Une paire de montres à l’anglaise de Descombats figure dans un lot envoyé par la maison Jaquet-Droz & Leschot à James Cox & son le 24 novembre 1786. Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], p. 4.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 154-157, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 4 septebre 1793.
Smith Roger, « Les artisans étrangers au service de James Cox… », p. 73-99.
Parmi les ouvrages finis figurent « Deux grandes Cages à trois corps deux oiseaux sautant &c deux cascades, étoile changeante, temples a Collomnes, tournantes, oiseau au milieu, double fleur au dessus, spiral & papillon finies pour Messieurs Cox & fils ». AVN : Fonds Jaquet-Droz, Inventaire General de Meubles Effets, Outils, fournitures, ouvrages en travail & creances, appartenant en egale portion a Hy L is Jaquet Droz & Hy Maillardet , p. 9.
Garçon Anne-Françoise, L’imaginaire et la pensée technique…, p. 120.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 179-181, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 22 novembre 1793.
Il s’agit en fait d’Antoine Chaboud, à Brewer Street, Bloomsbury square.
BGE : Ms. Suppl. 958, Journal IFL 4, 1792-1802, p. 155.
Garçon Anne-Françoise, « Les dessous des métiers : secrets, rites et sous-traitance dans la France du xviiie siècle », in Early Science and Medicine, vol. 10, no. 3, Openness and Secrecy in Early Modern Science, 2005, p. 378-391.
Vérin Hélène, « Rédiger et réduire en art… », p. 17-58.
Riello Giorgio, « Strategies and Boundaries… », p. 243-280, p. 271.
BGE : Ms. Suppl. 962, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 2 juillet 1794, p. 28-29.
Il s’agit vraisemblablement de Louis Bertrand (1731-1812) ou de Simon-Antoine L’Huillier (1750-1840), tous deux membres de la Société des arts de Genève et professeurs de mathématiques à l’Académie de Genève. Vidal Fernando, « Louis Bertrand », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/025850/2002-09-24/, version du 24 septembre 2002 ; Sigrist René, « Simon-Antoine L’Huillier », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/025661/2009-03-19/, version du 19 mars 2009.
Berg Maxine, « From Imitation to Invention… », p. 1-30, p. 26 ; Crouzet François, La guerre économique franco-anglaise au XVIIIe siècle…, p. 245.
Clifford Helen, « Concepts of Invention… », p. 241-255, p. 250.
Berg Maxine, « From Imitation to Invention… », p. 1-30.
L’imitation et la copie se définissent alors comme la négation du génie créateur. Cette pratique sera socialement désapprouvée, et l’artiste et critique d’art anglais John Ruskin en condamnera la vulgarité. Carnevali Francesca, « Luxury for the masses… », p. 56-70, p. 64.
Clifford Helen, « Concepts of Invention… », p. 241-255, p. 249.
Alembert Jean le Rond d’, « Contrefaire, imiter, copier », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1754, tome 4, p. 133.
AVN : Fa Jaquet-Droz : Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, [5 folios]. Le traité de société est retranscrit à l’annexe 4 du présent ouvrage, p. 553.
Probablement le même Favre qui loge, avec Francis Berthoud, chez Henry-Louis Jaquet-Droz jusqu’en 1786.
AVN : Fa Jaquet-Droz : Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, article premier.
AVN : Fa Jaquet-Droz : Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, article premier.
AVN : Fa Jaquet-Droz : Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, article second.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Du 1er Octobre 1787 Inventaire General et Meubles effets outils, fournitures, ouvrages en travail & creances de la société entre Hy Louis Jaquet Droz & Henry Maillardet a Londres fait le 17e Septembre pour le 5 octobre 1787.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire Particulier de Henry Louis Jaquet Droz du 20e May 1786, [p. 20].
Hilaire-Pérez Liliane, La pièce et le geste…, p. 111-117 ; Ledger A. P., Smith Roger, « Benjamin Vulliamy and the Derby Porcelain Manufactory. 1784-1795 », in Derby Porcelain Archive Research, Derby : Derby Museum and Art Gallery, 2007.
Jahier Hugues, « La “quincaillerie” anglaise… », p. 18-42, p. 30.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, article neuvième.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, article dixième.
« Bartletts’s buildings, a very handsome spacious place, graced with good Buildings of Brick, with Gardens behind the Houses ; and Persons of good Repute. Out of this court, through a long Alley, wherein are some very good houses, in is a passage into Fetter Lane. Adjoining to Bartlett’s Buildings is a court so called, which is but small. » Stowe John, Strype John, A survey of the cities of London and Westemister , 6 books, London : A. Churchill, J. Knapton, R. Knaplock, J. Walthor, E. Horne, B. Tooke, D. Midwinter, B. Cowse, R. Robinson, T. Ward, 1720, book 3, p. 282-283.
La carte de la circonscription de Farringdon Without est donnée dans le plan général de Londres, initialement dressé en 1598 par John Stowe, revu et augmenté par John Strype en 1720. Strype, John, A survey of the cities of London and Westminster (1720). Une version est en ligne, url : https://www.hrionline.ac.uk/strype/index.jsp. Le plan de Farringdton Without : url : https://www.hrionline.ac.uk/strype/images/figures/810014-001.jpg (consulté le 2 août 2017). C’est dans cette zone que les activités de Henry-Louis Jaquet-Droz se déploient : les Bartlett’s Buildings, King Street (où se trouve la Great room de Covent Garden) ainsi que Warwick Street (où loge Henry-Louis Jaquet-Droz avant de s’établir aux Bartlett’s Buildings) se trouvent tous dans Farringdon ward Without. Harben Henry A., A dictionary of London being notes topographical and historical buildings in the city of London, London : Herbert Jenkins Limited Publishers, 1918.
Moore Dennis, British Clockmakers & Watchmakers… ; Riello Giorgio, « Le déclin des corporations de Londres : les cordonniers au xviiie siècle », in Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2007/1, no. 54-1, p. 145-170.
Cet artiste aquarelliste est apprécié pour son travail de représentation des architectures de Londres, Edimbourg, Bath et Bristol. Ses peintures constituent la base de nombreuses gravures publiées dans des ouvrages. Son attention pour le détail et les scènes de vie avec personnes, carrosses et chevaux en font des représentations attentives de la réalité. L’aquarelle en question est reproduite à la figure 20 du présent ouvrage, p. 198. Notice biographique : https://www.royalacademy.org.uk/art-artists/name/thomas-hosmer-shepherd (consulté le 16 mars 2018).
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/262, 13th January 1778, p. 476.
Richardson John, London and its people. A social history from medieval times to the present day, London : Barrie & Jenkins, 1995, p. 137.
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/298, 25 décembre 1781, p. 72-73.
« Les polices, bien qu’elles ne concernent que les habitants les plus aisés de la capitale, laissent filtrer des arrangements, entre des individus de fortunes modestes, ou inégaux, recouvrant probablement divers modes d’interdépendance. […] Si les polices peuvent servir à pister la chronologie des affaires, le nombre d’ententes, la composition des compagnies, ces archives laissent surtout entrevoir la panoplie de relations d’interdépendance […] » Hilaire-Pérez Liliane, La pièce et le geste…, p. 275-276.
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/319, 25 décembre 1783.
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/330, 30 juin 1785, p. 9.
« The density of the population in many of these areas meant that most houses were in multiple occupation, with the owner or lease-holder not only using the premises as living, working and, perhaps retail accommodation for his own family, but commonly letting out rooms or a backyard workshop to craftsmen working at their own trades. » Smith Roger, « Some Mid-eighteenth Century… », p. 348-358, p. 353.
Je remercie Hélène Fima de ces informations.
LMA : Sun insurance policy, Ms 11936/364, 17 novembre 1789.
Nous avons émis l’hypothèse, au chapitre « Des spectacles en concurrence », p. 152-160, que la chronologie des spectacles de pièces mécaniques peut constituer le lien de contact originel entre les deux hommes.
La formation de Cox et l’adéquation de sa relation commerciale avec Henry-Louis Jaquet-Droz seront développées au chapitre « James Cox… » , notamment aux pages 360-362.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Livre de comptes 1781-1786, p. 14.
BGE : Ms. Suppl. 958, Journal IFL 4, 1792-1802, p. 31.
AVN : Fonds Jaquet-Droz, Inventaire General de Meubles Effets, Outils, fournitures, ouvrages en travail & creances, appartenant en egale portion a Hy L is Jaquet Droz & H y Maillardet , 1785-1786, 1787.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Traité de société entre Henry Louïs Jaquet Droz et Henry Maillardet, article quinzième.
Relevons ici l’annotation personnelle et plus tardive de Leschot : « P [our] Note pour aprentif sachant […] limér et engrenage des rouages 6 années sans payer, mais ne devant point le nourrir et autrement 200 [livres courantes] et le payer a mesure de ses ouvrages ». BGE : Ms. Suppl. 954, Ouvrages comis[sions] & Journal de fabrication [a] horloger p[our] IFL 1792, f. 1.
AEG : Jur. Civ. F.825, Jur. Civ. E.15 et Jur. Civ. E.40.
« Henry Borrell [1757-1840] – nom sous lequel il devint connu en Angleterre – était peut-être le Borel qui avait travaillé dans l’atelier londonien de Jaquet-Droz et logé avec Henry Maillardet en 1785, mais cela demeure incertain. » Smith Roger, « Penduliers neuchâtelois… », p. 175-192, p. 189.
Sur le fait que les domestiques employées par des horlogers suisses à Londres sont généralement anglaises : Smith Roger, « Justin Vulliamy… », p. 327-345, p. 331.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire Général d’ouvrages, meubles et effets appartenant les trois quarts à Henry-Louis Jaquet Droz & le quart à Jean Fredrich Leschot du 1er octobre 1784.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire du 1er février 1785 entre Jaquet Droz & Maillardet, p. 6-7.
À titre de comparaison, la somme de 300 livres courantes chacun est avancée pour le paiement d’une année de pension et de nourriture d’ouvriers vivant chez Leschot, en 1793. BGE : Ms. Suppl. 958, Journal IFL 4 (1792-1802), p. 65, note 43-1.
Landes David Saul, L’orologio nella storia…, p. 191.
Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain…, p. 173.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 129.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 133.
Dequidt Marie-Agnès, Temps et société…, p. 137.
Dans la littérature secondaire, Leschot est souvent considéré comme le fils adoptif de Pierre Jaquet-Droz. Le passage de Dassier est le seul qui mentionne le terme « adoption », mais il dénote plus leur profond attachement réciproque qu’une parenté de sang. Jean Senebier souligne aussi l’affection réciproque qui liait les deux hommes dans le mémoire posthume sur Henry-Louis Jaquet-Droz : « Mr Jaquet-Droz sortit de la Chaux de fonds à 22 ans [en 1774] emportant avec lui ces automates qui le montrèrent à l’Europe comme un mécanicien consommé ; mais il repousseroit nos éloges si nous le séparions de son ingénieux & modeste ami Mr Leschot qui exécutoit savammant ce que Mr Jaquet-Droz pensoit avec génie. » AVN : Fa Jaquet-Droz : Notice historique sur M. Henry Louis Jaquet-Droz…, p. 3-4. N’excluons pas, toutefois, un attachement filial ou fraternel que la promiscuité de l’atelier pouvait favoriser. Comme le montrent les actes d’apprentissages étudiés par Estelle Fallet et Alain Cortat, l’apprenti intègre autant un atelier qu’une famille. Il est par ailleurs soumis à l’autorité de son maître d’apprentissage, qui fait parfois figure de père de substitution. Fallet Estelle, « Flexibilité et adaptation : les apprentissages de l’horlogerie à Neuchâtel au xviiie siècle », in Chronométrophilia, La Chaux-de-Fonds, no. 49, 2000, p. 46-57 ; Cortat Alain, « Vivre chez son maître, vivre avec son maître… », p. 7-15.
Les documents laissés par Leschot comportent très peu de dessins, mais ce media est utilisé pour compléter les indications écrites : « vous trouverez ci joint deux feuillets de dessin dont j’ai les double en réserve ». BGE : Ms. Suppl. 961, p. 76-78, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils, 21 avril 1792. Puetz Anne, « Design Instruction for Artisans in Eighteenth-Century Britain », in Journal of Design History, vol. 12, no. 3, Eighteenth-Century Markets and Manufactures in England and France, 1999, p. 217-239.
APFLP : Copies de lettres pour la liquidation de Henry-Louis Jaquet-Droz, p. 22-26, lettre d’Ami Dassier à David Duval, 27 janvier 1792.
APFLP : Copies de lettres pour la liquidation de Henry Louis Jaquet-Droz, p. 1-2, lettre d’Ami Dassier à David Duval, 16 décembre 1791.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 12, lettre de J.-F. Leschot aux frères Pinel, 27 juin 1792.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 1-4, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils, 21 avril 1792.
Blanchard Philippe, « Une production éclatée »…, p. 28.
Blanchard Philippe, « Une production éclatée »…, p. 18.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire General de Marchandises, Ouvrages en travail, effets & meubles apartenant les trois quarts a Hy Lis Jaquet Droz & le quart a Jn Fch Leschot du 18 may 1786.
Hugues Jahier mentionne un Philippe Dubois, fournisseur d’outillage, par le biais du marchand yverdonnais Mandrot, également en contact avec l’atelier Jaquet-Droz & Leschot de Genève à qui il fournit du laiton. Jahier Hugues, « Les acquisitions de fournitures et outillage… », p. 3-27 p. 24.
AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire Général d’ouvrages, meubles et effets appartenant les trois quarts à Henry-Louis Jaquet Droz & le quart à Jean Fredrich Leschot du 1er octobre 1784.
« Une vague commerciale anglaise déferla sur le continent dans les dernières décennies du XVIIIe siècle. L’ère industrielle naissant, alliée à une propagation d’anglomanie à tous crins, mirent aussi bien des produits transformés et manufactures très au point, qu’une palette inouïe de colifichets, à la portée courante. Dans la Principauté, tous les ateliers horlogers du Haut faisaient usage de matière première et outillage “made in England” valorisant leur production, eu égard au fait qu’ils avaient accès aux plus récent perfectionnements technologiques anglais en la matière, vulgarisés par des négociants régionaux extrêmement bien informés. » Jahier Hugues, « Touche de perfection pour l’indiennage neuchâtelois de 1790 : les crayons anglais », in Musée neuchâtelois, 1990, juillet-septembre, no. 3, p. 151-158, p. 151. Voir aussi : Crouzet François, La guerre économique franco-anglaise au XVIIIe siècle…, p. 211.
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1790-1791], p. 7, 28 mai 1790.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 111-113, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 3 février 1795.
« March[andi]es gen[era]les doiv[en]t à la Société de Jaquet Droz & Leschot c[omp]te part[iculie]r pour les marchandises existantes [à] ce jour, fournitures, meubles & outils d’attelier dont je me suis chargé […] ». BGE : Ms. suppl. 958, Journal IFL 4, 1792-1802, p. 1.
BGE : Ms. Suppl. 955, Livre d’ouvriers B, p. 23. La valeur se réduit avec le temps : on passe de 800 livres courantes en 1812 à 461 louis neufs de France (34 ½ louis d’or neufs) en 1820. Un bocfil est une petite scie.
Blanchard Philippe, L’établissage…, p. 92.
« Atelier », in Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce…, tome premier A=E, p. 180.
Mantion Jean-Rémy, « Atelier », in Delon Michel (dir.), Dictionnaire européen des Lumières…, p. 132-133.
Mallet, « Maison », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 9, p. 893.
« Maison », in Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce…, tome second F=Z, p. 615.
Blondel, « Fabrique », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1756, tome 6, p. 351.
« Fabrique », in Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce…, tome second F=Z, p. 3.
BGE : Ms. suppl. 958, Journal IFL 4, 1792-1802, p. 1.
Diderot, « Comptoir », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1753, tome 3, p. 797.
« Boutique », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1752, tome 2, p. 381.
Jaucourt Louis chevalier de, « Industrie », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 8, p. 694.
Les glissements sémantiques du terme sont étudiés par Hélène Verin : Vérin Hélène, Entrepreneurs, entreprises, Histoire d’une idée…
Voir les articles « entreprendre », « entrepreneur », « entrepreneur en bâtiment » et « entreprise » de Mallet, Blondel Bellin, Diderot et Leblond dans : L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1755, tome 5, p. 732-733.
« Entreprendre », « Entrepreneur » et « Entreprise », in Savary des Brulons Jacques, Dictionnaire universel de commerce…, tome premier A=E, p. 1818-1819.
Dictionnaire universel françois et latin, vulgairement appelé Dictionnaire de Trévoux, Paris : par la Compagnie des Libraires Associés, 1771, 8 tomes, tome 3 p. 755-756.
Anonyme, « Manufacture, réunie, dispersée », in L’Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences des arts et des métiers…, 1765, tome 10, p. 58.
Berg Maxine, Luxury and Pleasure in Eighteenth Century Britain…, p. 169.
Roche Daniel, Histoire des choses banales…, p. 55.
Styles John, « The goldsmiths and the London luxury trades, 1550 to 1750 », in Mitchell David (ed.), Goldsmiths silversmiths and bankers…, p. 112-120, p. 114.
Anonyme, « Manufacture, réunie, dispersée »…
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 171-172, lettre de J.-F. Leschot à Pinel Frères, 16 octobre 1795.
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1786-1791], plusieurs occurrences.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 51-52, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 27 novembre 1792.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 85-87, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 13 mars 1793.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 173-175, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 28 octobre 1795.
« Le blanc : les anciens horlogers appelaient “le blanc”, la platine, les ponts et le barillet de la montre. Ils disaient « remonter en blanc » pour remonter un mouvement de montre avant le dorage. En 1824, la Société des Arts fonda à Genève une « École de blanc » qui devint par la suite l’École d’horlogerie de Genève. » url : http://www.fhs.ch/berner/ (consulté le 27 février 2013).
Première lettre figurant dans la correspondance de Leschot à Frisard : BGE : Ms. Suppl. 961, p. 34, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 23 octobre 1792. Notons encore ce que dit Leschot au sujet de l’établissement de Frisard à Bienne dans une lettre à Jean Duval : « […] mon principal ouvrier pour cet objet, malgré mes plus vives sollicitations au moment de l’invasion de la Savoye & se croiant perdu a quité Geneve pour Suivre à une acquisition de fonds à Bienne, qu’il avait deja projectée du vivant de notre ami M Jaquet Droz ». BGE : Ms. Suppl. 961, p. 63-64, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils, 26 décembr 1792.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 191-192, lettre de J J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 28 novembre 1795.
24 300 habitants en 1798 et 21 812 en 1814. Piguet Martine, « Genève », in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2903.php, version du 21 août 2015.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 195-198, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 16 décembre 1795.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 33-34, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 18 juillet 1794.
Kerman Sharon, « Les Jaquet-Droz et Leschot : aux croisées des chemins »…, p. 57.
Verley démontre les tentatives d’uniformisation de la qualité grâce à l’exemple de brasseurs anglais du xviiie siècle. Verley Patrick, L’échelle du monde…, p. 185-191.
Ledger A. P., Smith Roger, « Benjamin Vulliamy… ».
AVN : Fa Jaquet-Droz, Inventaire Particulier de Henry Louis Jaquet Droz du 20e May 1786, [p. 20]. Ces carnets ne sont pas localisés. Peut-être n’ont-ils pas été conservés.
Coll. privée : Livre de comptes [IDL 1790-1791], p. 3, 25 juillet 1791.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 19, lettre de J.-F. Leschot à Louis Georges, 14 août 1792.
Bernasconi Gianenrico, Objets portatifs au Siècle des Lumières…, p. 124-125 ; Lavoisy Olivier, « Illustration and Technical Know-How in Eighteenth-Century France », in Journal of Design History, vol. 17, no. 2, 2004, p. 141-162.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 42, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 22 juin 1796.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 61, lettre de J.-F. Leschot à LeDuc & Sonnet, 24 décembre 1792.
BGE : Ms. Suppl. 954, Ouvrages comis[sions] & Journal de Fabrications a horloger p [ou]r IFL 1792 , folio 1.
Quelques dessins attribués aux ateliers Jaquet-Droz ont été publiés, mais n’ont pas pu être localisés : Perregaux Charles, Perrot François-Louis, Les Jaquet-Droz et Leschot…, p. 200 notamment.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 62-64, lettre de J.-F. Leschot à Jean Duval & fils & co, 24 octobre 1794.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 173-175, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 28 octobre 1795.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 26-28, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 24 mai 1796.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 42, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 22 juin 1796.
Belfanti Marco, « Guilds, Patents, and the Circulation of Technical Knowledge… », p. 569-589, p. 572.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 42, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 22 juin 1796.
« However, the term “fashion” is an ambiguous one, which has been used by historians to mean everything from visual novelty of almost any kind to the very precise annual shifts which had become characteristic of metropolitan high style in clothing by the early eighteenth century. » Styles John, « The goldsmiths and the London luxury trades… », p. 112-120, p. 118.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 178-180, lettre de J.-F. Leschot à David Duval de Londres, 20 octobre 1801.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 143-146, lettre de J.-F. Leschot à David Duval, 28 avril 1800.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 138-139, lettre de J J.-F. Leschot aux frères Pinel, 13 juillet 1793.
« un canari soit oiseau habillé au naturel ou en plumes d’argent coloriées ». BGE : Ms. Suppl. 962, p. 181, lettre de J.-F. Leschot aux frères Pinel, 24 octobre 1797.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 24, lettre de J.-F. Leschot à Louïs Golay, 19 avril 1798.
BGE : Ms. Suppl. 964, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 5 février 1799. (Souligné dans le texte).
Le livre d’ouvriers de Leschot mentionne, en 1803, au compte de Tite : « Pour 44 journées de travail à 4 grandes pièces architecturées […] 34 piastres pour 31 jours de travail […] », sans préciser, bien que cela soit fort probable, si ces travaux ont été réalisés sous la direction de Jean-Frédéric Leschot. BGE : Ms. Suppl. 955, Livre d’ouvriers, p. 3.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 161, lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot, 28 août 1795.
La lettre de J.-F. Leschot à Tite Leschot (4 octobre 1796) rend la sous-sous-traitance manifeste ; voir l’annexe 6 du présent ouvrage, p. 561.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 144-145, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 24 juillet 1793.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 94, lettre de J.-F. Leschot, 23 décembre 1794.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 167, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 8 octobre 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 160-161, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 25 septembre 1793.
Notons que Marc-Auguste Pictet mentionne le départ de Le Maire à Londres : « M. Le Maire, l’un de nos premiers artistes dans le genre de l’horlogerie recherchée, va se fixer à Londres, ne trouvant pas à Genève de quoi faire valoir ses talens depuis que M. Jaquet-Droz a renoncé à ce commerce. Il m’a prié de le recommander, et je vous l’adresse avec plaisir. » Lettre de Marc-Auguste Pictet à Bladgen, le 12 février 1790, in Sigrist René (établi par), Marc-Auguste Pictet…, tome 3/4, lettre à Bladgen, p. 81-82.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 162-163, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 25 septembre 1793.
BGE : Ms. Suppl. 962, p. 68, lettre de J.-F. Leschot à Louis Georges, 31 octobre 1794.
Jeannin Pierre, « Distinction des compétences et niveaux de qualification : les savoirs négociants dans l’Europe moderne », in Angiolini Franco, Roche Daniel (dir.), Cultures et formations négociantes dans l’Europe moderne…, p. 363-397, p. 374-375.
Grenier Jean-Yves, L’économie d’Ancien Régime…, p. 150.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 87-89, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 22 février 1799.
Sur la continuité du travail de l’or entre la période française (1798-1814) et la période précédente : Donzé Pierre-Yves, L’invention du luxe…, p. 23.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 87-89, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 22 février 1799. L’essentiel de cette lettre est reproduit à l’annexe 7 du présent ouvrage, p. 563.
Archives départementales du Haut-Rhin : Correspondance entre le préfet du Haut-Rhin et le ministre de l’Intérieur. Je remercie sincèrement Sharon Kerman de m’avoir signalé cette référence.
« Mon principe est dans les objets de ma fabrique de ne jamais rien gagner sur les objets accidentés ». BGE : Ms. Suppl. 963, p. 40, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 17 juin 1796.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 202-203, lettre de J.-F. Leschot à David Rochat & fils, 9 décembre 1802.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 58-60, lettre de J.-F. Leschot à Henry Maillardet, 22 décembre 1792.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 133, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 18 juin 1793.
BGE : Ms. Suppl. 961, p. 133, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 18 juin 1793.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 157-158, lettre de J.-F. Leschot à Louïs Golay, 1er août 1797.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 157-158, lettre de J.-F. Leschot à Louïs Golay, 1er août 1797.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 175, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 20 février 1797.
BGE : Ms. Suppl. 963, p. 197, lettre de J.-F. Leschot à Jacob Frisard, 29 décembre 1797.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 8, lettre de J.-F. Leschot à Louïs Golay, 28 février 1798.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 39-41, lettre de J.-F. Leschot à Louïs Golay, 3 juillet 1798.
BGE : Ms. Suppl. 964, p. 45, lettre de J.-F. Leschot à Louïs Golay, 1er août 1798.
Verley Patrick, L’échelle du monde…, p. 239-240.