Eva Bouillo, Le Salon de 1827, classique ou romantique ?, Rennes : Presses universi- taires de Rennes, coll. « Art & Société », 2009, p. 9 ; Marie-Claude Chaudonneret,L’État et les Artistes. De la Restauration à la monarchie de Juillet (1815-1833), Paris : Flammarion, 1999, p. 55.
Voir Bouillo 2009, tableau 7, p. 34. Les chiffres concernant les artistes suisses proviennent de nos propres recherches, alors que ceux concernant les autres nationalités sonttirés de l’ouvrage d’Eva Bouillo. La différence entre ses chiffres et les nôtres en ce qui concerne les artistes suisses, s’explique par le fait que certains d’entre eux ont acquis la nationalité française (comme le sculpteur Pradier). Eva Bouillo les a classés parmi les Français alors que nous les comptons parmi les Suisses.
Dans les livrets, médailles et médaillons sont le plus souvent classés sous Sculpture, mais parfois aussi sous Gravure. Voir le Répertoire des artistes suisses ayant exposé au Salon de Paris entre 1814 et 1846 (ci-après Répertoire).
Voir le Répertoire, p. 263 et note 136.
Nous avons classé parmi les Genevois les artistes nés à Genève ou d’origine genevoise, ainsi que ceux qui y ont été actifs ou qui, à Paris, étaient considérés comme genevois.Ainsi, bien que non nés à Genève, ont été inclus : Blondel, Calame, Chaix, Dandiran, Frégevize, Fries, Goulu, Grosclaude, Morel-Fatio, Odier et Reinhart. Esther Maunoir n’a pas été prise en compte car il n’est pas clairement établi qu’elle ait exposé au Salon.
Pascal Griener, « Monsieur Ingres et les Helvètes. Transhumances suisses à Paris », dans Ingres, un homme à part ? Entre carrière et mythe, la fabrique du personnage, Rencontres de l’École du Louvre, Paris : École du Louvre, 2009, p. 239-249 (voir p. 240-241).
Plusieurs œuvres sont parfois regroupées sous un même numéro, notamment pour les gravures et lithographies
Selon les indications des livrets et la base de données Joconde, portail des collections des Musées de France, en ligne sur http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr (consulté le 15 mars 2015).
Dans le cadre de ce travail, nous n’avons pas pu élargir ces statistiques à toutes les années de la période étudiée et avons choisi, dans la première moitié, 1827, Salon particulièrement marquant et analysé en détail par Eva Bouillo (Bouillo 2009), et, dans la seconde moitié, 1841, Salon où exposent, entre autres, les Genevois Calame, Diday et Lugardon.
Comme le déclare Eva Bouillo (2009, p. 57), les frontières entre les genres deviennent de plus en plus floues en cette première moitié du XIXe siècle. Une classification précise est donc difficile à établir.
Bouillo 2009, p. 225.
Adolphe Thiers, Adolphe Thiers critique d’art, Salons de 1822 et de 1824, éd. présentée et annotée par Marie-Claude Chaudonneret, Paris : Honoré Champion,Genève : Slatkine, 2005, p. 148.
Six tableaux en 1824, quinze en 1827, trois en 1831, deux en 1833, puis le sujet cesse de susciter l’intérêt, avec un seul tableau en 1836, 1838, 1840 et 1843.
Ces deux œuvres sont conservées à Paris, Musée du Louvre.
Catherine Martin, « Exposition en faveur des Grecs à la galerie Lebrun ou le “Salon” de 1826. Une organisation non officielle pour un événement devenu officiel »,Recherches en histoire de l’art, n° 3, 2004, p. 91-104 (ici p. 94). Pour Genève, voir le Catalogue des tableaux, dessins et gravures, exposés par les artistes genevois le 6 mai 1826, & dont le produit est destiné aux Grecs, s.l., s.d.
En 1826, à l’occasion de l’exposition loterie en faveur des Grecs, Georges Chaix et Amélie Munier présentent chacun un sujet grec. Chaix en expose aussi un en janvier 1825, et deux en août 1826 (Genève 1826, n° 25 et 27, p. 6, et voir la contribution de Grégoire Extermann dans ce volume, p. 146 et fig. 5). Nancy Mérienne enexpose trois en 1826 (Genève 1826, n° 113, 114 et 115, p. 14). Vogel en expose un en 1832 (Explication des ouvrages de peinture, dessin, architecture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 24 juillet 1832, Genève : G. Fick, 1832, p. 17-18, n° 146).
L’Invention du passé : t. II : Histoire de cœur et d’épée en Europe 1802-1850, cata- logue d’exposition sous la dir. de Stephen Bann et de Stéphane Paccoud, Lyon, Muséedes beaux-arts, 19 avril-21 juillet 2014, Paris : Hazan, p. 118-119, 132-133.
Bouillo 2009, p. 14.
Voir le Répertoire, p. 276.
Les deux premières œuvres sont conservées au Musée national du Château de Versailles, la troisième au Musée historique du domaine national de Saint-Cloud, dépôtdu Musée du Louvre.
Ces deux tableaux sont conservés à Versailles, Musée national du Château.
Versailles, Musée national du Château (sauf un portrait, détruit) ; Danielle Buyssens, « Jean-Léonard Lugardon (1801-1884) et la fabrique européenne des histoires nationales », dans Actes du colloque international Ingres et ses élèves, Montauban, 8, 9, 10 octobre 1999, Montauban : Les amis du Musée Ingres, 2000, p. 27-36 (voir p. 33) ; Danielle Buyssens, La Question de l’art à Genève : du cosmopolitisme des Lumières au Romantisme des nationalités, Genève : La Baconnière Arts, 2008, p. 365 ; Base de données Joconde, portail des collections des Musées de France, en ligne sur http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr (consulté le 15 mars 2015).
Hornung présenta au Salon du Musée Rath à Genève : 1829, Derniers Moments de Calvin ; 1834, Épisode de la Saint-Barthélemy ; 1835, La Réformation prêchée pour la première fois à Genève par Froment ; 1839, Bataille de Morgarten et Visite de Farel à Calvin ; 1843, Un ancien chef genevois et Lit de mort de Louis XIV ; 1845, Le Prisonnier de Chillon ; 1847, Christophe Colomb au couvent de la Rabida en Andalousie, et La Jeunesse de Jean de Brogny qu’il exposera aussi au Salon de Paris ; Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure et lithographie des artistes vivants exposés au Musée royal le 16 mars 1847, Paris, 1847, p. 99-100, n° 836.
Füssli: the wild Swiss, catalogue d’exposition sous la dir. de Franziska Lentzsch [et al.], Zurich, Kunsthaus, 14 octobre 2005-8 janvier 2006, Zurich : Kunsthaus Zürich, 2005,fig. p. 38 et 43.
Jean-Pierre Cuzin, François-André Vincent, 1748-1816, entre Fragonard et David, Paris : Arthéna, 2013, p. 196-199 ; Buyssens 2000, p. 31.
Voir la contribution d’Anne-Marie Thiesse dans ce volume, p. 13.
Vogel exposa au Salon du Musée Rath à Genève : août et septembre 1823, La Dédicace fribourgeoise, et Das Steinstossen ; 1832, n° 146 Un guerrier Grec rappelle aux jeunes gens qui l’entourent les temps glorieux de leur patrie […], n° 147 Jeune demoiselle devant un miroir, n° 148 Ulrich Rotach à la bataille de Stoss et n° 149 Guillaume Tell, au moment où il vient d’abattre la pomme sur la tête de son fils (esquisse aquarelle) ; 1834, n° 159 La Messe au Wildkirchly, grotte près de la Ebenalp, Canton d’Appenzell, n° 160 Le Sermon à Tellen Platten au lac d’Uri, n° 161 Intérieur de la chapelle de Guillaume Tell au lac d’Uri, n° 162 Des Italiens montrant un dromadaire sur une place de Fribourg, n° 163 Arnold de Winkelried (aquarelle), n° 164 Strüthan de Winkelried tuant le dragon, ancienne tradition d’Underwald (aquarelle), n° 165 Des Tyroliens font voir un chamois et un aigle (dessin à la sépia), et n° 166 Une famille d’Oberhasli au souper (dessin à la sépia).
Selon communication de Laurent Langer.
Laurent Langer, « Le mécénat de James de Pourtalès envers la Ville de Neuchâtel », dans Sa Majesté en Suisse. Neuchâtel et ses princes prussiens, catalogue d’exposition sous la dir. d’Élisabeth Crettaz-Stürzel et Chantal Lafontant Vallotton, Neuchâtel, Musée d’art et d’histoire, 21 avril-6 octobre 2013, Neuchâtel : Éditions Alphil, 2013, p. 230-236 (ici p. 233).
Dates de naissance et de décès inconnues ; il expose au Salon de 1833 à 1835.
Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 15 Août 1834, Genève : G. Fick, 1834, p. 17, n° 132 « Tell et Baumgartner » ; Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 14 Août 1837, Genève : G. Fick, 1837, p. 15, n° 104 « Guillaume Tell sauvant Baumgartner ». Les descriptions des trois tableaux sont similaires, on peut supposer qu’il s’agit de la même toile. Les livrets précisent que le tableau est à vendre en 1834, qu’il appartient à l’auteur en 1835, et à Ami Bernard-Saint-Ours en 1837.
Buyssens 2000, p. 31 ; Buyssens 2008, p. 361.
Étienne-Jean Delécluze, Journal des débats, 10 mars 1835.
Ludovic Vitet, « De l’indépendance en matière de goût », Le Globe, 2 et 23 avril 1825 ; Thiers 2005, p. 25.
1834, n° 1816, Vue prise au mont Rigi ; aquarelle et n° 1817, Souvenir de Suisse ; sépia ; 1836, n° 1719, Souvenir de Suisse ; aquarelle ; 1841, n° 1870, Vue du lac de Lucerne, prise du Rhigi (Suisse) ; aquarelle ; 1845, n° 2005, Souvenir de Rigi (Suisse) ; aquarelle.
Le tableau est associé à l’ouvrage de Pichald dans la Galerie lithographiée de son Altesse Royale le duc d’Orléans, dédiée à son Altesse Royale la duchesse d’Orléans, publiée par MM. J. Vatout et J. P. Quénot, Paris, 1824, t. I, p. 10 ; sur Pichald, voir C. L. Lesur, Annuaire historique universel pour 1830, Paris, 1832, Appendice, p. 261.
Amable Tastu, Poésies, 4e édition, Paris, 1827, p. 34 ; Galerie des arts et de l’histoire, composée des tableaux et des statues les plus remarquables des musées de l’Europe, et de sujets tirés de l’histoire de Napoléon, gravés à l’eau-forte sur acier par Réveil, et accompagnés d’explications historiques, Paris, 1836, t. V, p. 369.
Tastu 1827, p. 33-38 ; sur Amable Tastu, voir Afifa Marzouki, Amable Tastu : une poétesse à l’époque romantique, Université de Tunis I, Faculté des lettres de la Manouba, Tunis, 1997, p. 112, 158.
Charles-Paul Landon, Annales du Musée et de l’École moderne des beaux-arts, Salon de 1824, Paris, 1824, t. I, p. 62.
P. A., « Notice sur l’exposition des tableaux en 1824, Troisième article, suite et fin de la peinture historique ; tableaux anecdotiques ; bataille ; ruines ; intérieurs », Revue encyclopédique, ou Analyse raisonnée des productions les plus remarquables dans les sciences, les arts industriels, la littérature et les beaux-arts, t. XXIV, Paris, novembre 1824, p. 287-304 (voir p. 299).
Explication des ouvrages de peinture, dessin, architecture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 1er Août 1826, Genève: Guillaume Fick, 1826, p. 12, n° 90.
Auguste Jal, Esquisses, croquis, pochades, ou tout ce qu’on voudra sur le Salon de 1827, Paris, 1828, p. 354.
Genève 1834, p. 17 ; Danielle Buyssens, Les Nus de l’Helvétie héroïque : l’atelier de Jean-Léonard Lugardon (1801-1884), peintre genevois de l’histoire nationale, Genève : Éditions Passé-Présent, Musée d’art et d’histoire, p. 10-11 ; Buyssens 2008, p. 363-364.
Buyssens 1991, p. 11.
Chaix présenta six œuvres à Paris au Salon de 1822, des sujets antiques, religieux et des scènes de genre. Il n’exposa plus dans la capitale après cette date.
Danielle Buyssens, « Art et patrie : polémique autour d’un concours de peinture d’histoire à Genève », Genava, n.s., t. XXXIII, 1985, p. 121-132.
À ce sujet, voir la contribution de Vincent Chenal dans ce volume, et fig. 4, p. 107.
Explication des ouvrages de peinture, dessin, architecture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 3 Aoust 1829, Genève : G. Fick-Bonnant 1829, p. 17, n° 102.
Archives des Musées Nationaux (AMN), Registres des Salons, 1827, *KK24, f. 2, n° 63, http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/registres_fr? (consulté le 10 mars 2015).
Jacques-François Haro (1797-1844), fonde sa boutique Au génie des Arts vers 1826, où, avec son épouse, il tient commerce de fabrique de couleurs et de restauration de tableaux. Il compte en particulier comme client Eugène Delacroix. Voir http://www.correspondance-delacroix.fr/ (consulté le 10 mars 2015).
L’hypothèse est que Lugardon a déposé le tableau chez Haro avant le Salon, et que l’acquéreur a inscrit la date de 1828 à l’issue du Salon.
Jal 1828, p. 354.
Archives de la SdA, registre de la Classe des beaux-arts (1822-1832), 5 janvier 1828, p. 59-60.
Buyssens 1991, p. 59.
Joseph Businger, Galerie des tableaux du pont de la Chapelle à Lucerne. Représentant la série des époques les plus mémorables de l’histoire suisse, traduit de l’allemand par Henry de Crousaz, Lucerne : Xav. Meyer, 1821.
Johannes von Müller, Der Geschichten schweizerischer Eidgenossenschaft, Sechster Theil. Von dem Aufblühen der ewigen Bünde., Stuttgart und Tübingen, 1832.
Lisa Sophie Hackmann, « Les élèves allemands dans l’atelier de Paul Delaroche », dans Apprendre à peindre : les ateliers privés à Paris, 1780-1863, sous la dir. de France Nerlich et Alain Bonnet, Tours : Presses Universitaires François-Rabelais, coll. « Perspectives historiques », 2013, p. 221-235 (voir p. 228-231).
Sur la réception du tableau de Lugardon à Genève, voir Danielle Buyssens, « Profil d’un héros, Arnold de Melchtal peint en 1840 par Jean-Léonard Lugardon », Genava, n.s., t. XXXVIII, 1990, p. 169-178, ainsi que sa contribution dans ce volume, p. 168.
Revue des Deux Mondes, t. XXVI, Paris, 1841, p. 34.
Rodolphe Töpffer, « Arnold de Melchtal. Tableau de M. Lugardon (école genevoise) » (non signé), Le Magasin pittoresque, Édouard Charton (dir.), t. IX, Paris 1841, p. 388-390 (voir p. 390) ; Buyssens 1990, p. 174 et p. 177, note 15.
Buyssens 1991, p. 21, 58 ; Genève 1829, p. 17, n° 102 bis. Voir la contribution de Vincent Chenal dans ce volume, fig. 2, p. 101.
Salon de 1839, n° 2396, Le Serment du Grutli ; d’après M. Lugardon ; Salon de 1840, n° 1845, La Prise du château de Rozberg, d’après M. Lugardon, et n° 1846 Guillaume Tell sauvant Baumgartner, d’après le même. Léon Noël exposa aussi des lithographies à Genève, au Salon du Musée Rath, en 1847 (Genève 1847, p. 20).
Il exposa à Genève en 1834, 1837, 1839, 1841 et 1845.
Selon Charles Gabet, Dictionnaire des artistes de l’école française au XIXe siècle, peinture, sculpture, architecture, gravure, dessin et composition musicale, Paris : chez Madame Vergne, 1834, p. 589, le tableau de Mlle Revest appartenait, en 1834, à la Ville de Genève. Nous ne l’avons pas localisé.
Élizabeth Fischer, « Le lendemain de l’Escalade sous les regards croisés de l’histoire et des émotions », Genava, n.s., t. L, C’était en 1602, Genève et l’Escalade, album publié à l’occasion du 400e anniversaire de l’Escalade, Genève, 2002, p. 120-125.
Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 12 Août 1839, Genève : G. Fick, 1839, p. 16, n° 112, Sujet de l’histoire de Genève (quatre lithographies) ; Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 4 Août 1845, Genève : Jules-Guillaume Fick, 1845, p. 12 n° 72, Bataille de Saint-Jacques sur la Birse (dans le cimetière), 26 août 1444 ; Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 2 août 1846, Genève : G. Fick, 1847, p. 12, n° 102, Nicolas de Fluë à la diète de Stanz, 1481.
Voir les précisions sur Benoist et Dandiran, p. 43.
Au sujet de Calame et de l’opinion de Töpffer, voir la contribution de Danielle Buyssens dans ce volume, en particulier p. 173 et fig. 1 p. 160 ; voir aussi Buyssens 2008, p. 361-368.
Dagnan exposa deux paysages au Salon du Musée Rath à Genève en 1843, voir Explication des ouvrages de peinture, dessin, sculpture et gravure des artistes vivans exposés dans la galerie du Musée Rath, le 14 Août 1843, Genève : Jules-Gme Frick, 1843, p. 9 : « Dagnan,/de Paris ; s’adresser à M. J.-L. Du Pan/Vue prise à Brientz / Vue de Cannes ».
Buyssens 2008, p. 358 ; Alexandre Barbier, Salon de 1839, Paris : Joubert, 1839, p. 98-99.
Silvia Rohner, « “Où est donc cette Suisse que l’Opéra-Comique nous a promise ?”, La découverte de l’art suisse par la France pendant les Expositions universelles », dans De Grünewald à Menzel. L’Image de l’art allemand en France au XIXe siècle, sous la dir. de Uwe Fleckner et Thomas W. Gaehtgens, Paris : Éditions de la Maison des Sciences de l’homme, 2003, p. 349-369 (voir p. 352) ; Wilhelm Ténint, Album du Salon de 1841. Collection des principaux ouvrages exposés au Louvre, reproduits par les peintres eux-mêmes ou sous leur direction, Paris : Challamel éd., 1841, p. 38.
Rohner 2003, p. 352 ; Henry Vermot, « Salon de 1845. XVI. Les paysages », L’Artiste, Revue de Paris, 4e série, t. IV, mai-juin 1845, p. 65-66.
Cette version n’est pas celle qui fut présentée au Salon.
Médailles de 2e classe pour Calame en 1839, de 3e classe pour Diday en 1840, de 1ère classe en 1841 pour Diday et pour Calame ; tous deux sont nommés chevaliers de la Légion d’honneur en 1842.
Töpffer 1841, p. 390.