La notion de « subculture », empruntée à l’anglais, est désormais préférée (voir par exemple Ferrand, 2011) à celle de « sous-culture », qui suggère une connotation dépréciative.
Sur la distinction emic/etic, que l’on peut ramener à indigène (relatif aux collectifs étudiés)/analytique (relatif à l’analyste) et qui permet de qualifier et de distinguer différents registres de discours, voir notamment Olivier de Sardan (1998).
Latour B. (2006), Changer de société : refaire de la sociologie, Paris, La Découverte.
Ferrand L. (2011). « Subulture musicale : la musique pratiquée aux marges », Volume !, 8(1), 319–322.
Olivier de Sardan J.-P. (1998), « Émique », L’homme 38(147), 151–166.