Frédéric Elsig, L’arte del Quattrocento a Nord delle Alpi. Da Jan Van Eyck ad Albrecht Dürer, Turin: Einaudi, 2011, p. 48.
Vittorio Natale, « Maître de la Pietà des Antonites », dans La Renaissance en Savoie. Les arts au temps du duc Charles II (1504-1553), éd. par Mauro Natale et Frédéric Elsig, Genève : Musée d’art et d’histoire, 2002, pp. 141-152.
Susanne Pollack, «I cosidetti Tarocchi del Mantegna», dans Cosmè Tura e Francesco del Cossa. L’arte a Ferrara nell’età di Borso d’Este, éd. par Mauro Natale, Ferrare : Ferrara Arte, 2007, pp. 398-403.
Frédéric Elsig, « La peinture en Savoie et en Franche-Comté durant la première moitié du XVIe siècle», dans La Renaissance en Savoie. Les arts au temps du duc Charles II (1504-1553), éd. par Mauro Natale et Frédéric Elsig, Genève : Musée d’art et d’histoire, 2002, p. 79.
Lino Marini, Savoiardi e Piemontesi nello Stato sabaudo (1418-1601), Rome : Istituto storico italiano per l’età moderna e contemporanea, 1962; Alessandro Barbero, «Savoiardi e Piemontesi nel ducato sabaudo all’inizio del Cinquecento : un problema storiografico risolto ?», Bollettino storico-bibliografico subalpino, 87, 1989, pp. 591-638.
Frédéric Elsig, « Reflections on the Arts at the Court of the Dukes of Savoy (1416-1536) », dans Artists at Court. Image-Making and Identity, 1300-1550, éd. par Stephen J. Campbell, Boston: Isabella Stewart Gardner Museum, 2004, p. 68.
Elisabeth Burin, Manuscript Illumination in Lyons, 1473-1530, Turnhout : Brepols, 2001.
Elena Rossetti Brezzi, La pittura in Valle d’Aosta tra la fine del 1300 e il primo quarto del 1500, Florence : Casa Editrice Le Lettere, 1989, pp. 42-45.
Corti e Città. Arte del Quattrocento nelle Alpi occidentali, éd. par Enrica Pagella, Elena Rossetti Brezzi et Enrico Castelnuovo, Milan: Skira, 2006, p. 438 (notice de Stefano De Bosio).
Bruno Orlandoni, Artigiani e Artisti in Valle d’Aosta. Il Romanico e il Gotico, Ivrée : Priuli & Verlucca, 1998, pp. 389-390.
Aristote est qualifié de prophète dans le Secret des secrets, texte diffusé durant le Moyen Âge, et apparaît (aux côtés de Platon) parmi les prophètes à la façade de la cathédrale de Sienne, comme nous le signale Jean Wirth que nous remercions amicalement.
Renée Loche, « La collection Gustave Revilliod, Genève », dans L’Art de collectionner. Collections d’art en Suisse depuis 1848, éd. par Regina Bühlmann, Zurich : Institut suisse pour l’étude de l’art, 1998, pp. 355-360.
AEG, RC6, 35 et 51.
Waldemar Deonna, Les arts à Genève des origines à la fin du XVIIIe siècle, Genève : Musée d’art et d’histoire, 1942, p. 210.
Journal de Genève, 10, 11 et 13 août 1901.
AEG, RC 100, 67v et 68, 23 mars 1604; Camille Martin, La Maison de Ville de Genève, Genève : A. Jullien, 1906, pp. 53-55.
Louis Gielly, L’école genevoise de peinture, Genève : Sonor, 1935, p. 17-18.
Waldemar Deonna, Les arts à Genève des origines à la fin du XVIIIe siècle, Genève : Musée d’art et d’histoire, 1942, p. 374.
«Il nostro pittore fiamengo ». Giovanni Caracca alla corte dei Savoia (1568-1607), catalogue d’exposition, éd. par Paola Astrua, Anna Maria Bava et Carla Enrica Spantigati, Turin: Umberto Allemandi, 2005.
Isabelle Brunier, « Pierre Favre », dans Artistes à Genève de 1400 à nos jours, éd. par Karine Tissot, Genève : éditions Notari, 2010, pp. 212-213.
Mauro Natale, « Gaspard Masery, artista gentiluomo a cavallo delle Alpi », dans Entre l’empire et la mer. Traditions locales et échanges artistiques (Moyen Age-Renaissance), éd. par Mauro Natale et Serena Romano, Rome : Viella, 2007, pp. 335-370.
Le tableau a été présenté par la galerie Kugel à la TEFAF de Maastricht en mars 2011.
Danielle Minois, Le vitrail à Troyes : les chantiers et les hommes (1480-1560), Paris : Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2005, pp. 142, 146, 274 et 276. Documenté jusqu’en 1548, Girard Viarre (ou Viarrey) réalise en 1546 les volets d’orgue de l’église Saint-Jean à Troyes, dont on peut peut-être reconnaître deux fragments dans les lambris de l’église Saint-Rémy (Prédication de saint Jean-Baptiste et Décollation de saint Jean-Baptiste). Comme nous le signale Isabelle Brunier, il serait le père de Germain Viarrey, actif à Genève de 1577 à 1584 et auquel on doit les allégories de la Justice et de la Paix pour la fontaine de la Maison de Ville (Musée Tavel).
Frédéric Elsig, «Maître de La Rochette (Jean de l’Arpe ?) », dans La Renaissance en Savoie. Les arts au temps du duc Charles II (1504-1553), éd. par Mauro Natale et Frédéric Elsig, Genève : Musée d’art et d’histoire, 2002, pp. 153-160.